BIGUDEN
Bugul-Noz
Gaud s’est éteinte, laissant, malgré son fichu caractère, un grand vide derrière elle. Sa fille Soizic broie du noir, sa vie sentimentale au point mort et la crêperie vide de clients. Goulwen est déchiré par les premiers émois de l’affection qu’il ressent pour Biguden à laquelle il s’attache de plus en plus.
Alors qu’une des dernières bigoudène est partie, la magie n’a jamais été aussi puissante, il faut dire que Biguden a pris son rôle très au sérieux et qu’elle protège la magie coûte que coûte.
Par olivier, le 21 juin 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782889320318
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Notre avis sur BIGUDEN #2 – Bugul-Noz
La forêt du Pouec revit, licornes, fées et autres créatures fantastiques du légendaire breton sonr revenues, mais en même que le merveilleux renait et éclaire de sa douce lumière la forêt, des créatures bien peu agréables refont leur réapparition. L’une d’entre elles, le Bugul-Noz, est dramatiquement revenu et s’empare des jeunes gens qui trainent dehors après le coucher du soleil.
Tout le village est en émoi après la disparition d’une nouvelle jeune fille et Goulwen va à son tour être la victime du berger de la nuit.
Seule Biguden, initiée par Gaud à l’art protecteur de la Bigoudénerie saura sauver ces infortunés de l’enchantement malfaisant du Bugul-Noz, mais à quel prix !!
Second volet des aventures de cette enfant, échouée sur les côtes et dont on ne sait rien des origines ni du drame qui l’ont amenée si loin et si seule de son pays d’origine.
Stan Silas en dévoile toutefois un peu plus en quelques superbes planches, où le seul dessin évoque une violence tragique, un destin funeste pour sa famille.
Magique mélange de poésie, d’aventure, d’amour dans sa plus jolie acceptation et d’humour. Un cocktail subtilement équilibré qui fait toute la force de ce récit atemporel et captivant, loin de toute guimauve et mièvrerie.
Stan Silas, Maitre d’œuvre de ce récit, se laisse la part belle au dessin dans un scénario où la personnalité des personnages est finement rendue et contribue au charme merveilleux de cette série.
Par Olivier, le 21 juin 2015
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