BLOODY MARY
Bloody Mary tome 1
Le vampire Bloody n’a qu’un souhait: mourir. Mais rien n’y fait, lumière du soleil, ail, feu, Bloody survit à tout. Son dernier espoir pour mettre fin à ses jours est de trouver le descendant de la famille des Maria, exorcistes puissants de génération en génération, et détenteurs du “pouvoir de purification”. Bloody met bien la main sur l’héritier des Maria, mais Ichiro Maria affirme ne rien connaitre de ses pouvoirs. Au comble du désespoir, Bloody accepte de devenir son garde du corps, et de le protéger de ses collègues vampires qui trouvent Ichiro bien appétissant, en attendant que celui-ci découvre enfin le secret de son héritage peu commun.
Par Clémence, le 1 août 2016
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782302051232
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Notre avis sur BLOODY MARY #1 – Bloody Mary tome 1
Un vampire suicidaire qui de surcroit refuse de boire de sang, on aura tout vu! Bloody est un vrai original, et peu apprécié de ses congénères. Un événement traumatique dont il n’a pas souvenir serait la raison de ses fortes tendances suicidaires, un désir de mort qu’il ne peut assouvir lui-même.
Enter Ichiro Maria, un prêtre encore lycéen qui attire les vampires comme des mouches. Ceux-ci se délectent de son sang, prêts à en boire jusqu’à la dernière goutte. Mais Ichiro veut vivre, au point de faire un pacte avec le diable, le vampire Bloody.
Passons sur le jeu de mot douteux quoi que plutôt amusant du « Bloody Mary », Samamiya prend directement le contrepied du genre avec des personnages charismatiques qui balayent les clichés. On pourrait penser à une énième série qui exploite la veine vampires et autres créatures de la nuit, mais Bloody Mary se démarque d’emblée avec un propos original.
Les cases font la part belle aux personnages sans omettre un rappel au contexte de temps à autre. On oscille entre humour et gravité de la situation. Le duo Bloody et Maria, pour le moins détonnant, donne un vrai dynamisme à l’ensemble.
Un début de série prometteur, les marqueurs consensuels pour le public ciblé sont assez minimes, ce qui permettra à tous d’apprécier ce premier tome.
Par Clémence, le 1 août 2016
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