DENT D'OURS
Silbervogel
1945, c’est la fin du IIIème Reich. Hitler s’est suicidé, terré au fond de son bunker. La lutwafe n’est plus, la Wermacht ne combat plus, il n’y a que les derniers régiments SS qui continuent la lutte, espérant vaincre les alliés. De plus, ils ont encore une arme secrète qui se nomme "Silbervogel" ! Et cet engin pourra balancer une bombe atomique sur New York !
Des membres l’OSS retrouvent des partisans polonais. Ils ont pour mission d’empêcher le Silbervogel d’accomplir sa terrible mission.
Par berthold, le 6 novembre 2018
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782800174112
Notre avis sur DENT D’OURS #6 – Silbervogel
Avec Silbervogel, Yann et Henriet terminent la série.
Cette conclusion est digne de ce nom. Yann nous tient en haleine jusqu’au surprenant final. Le scénariste terminant cette histoire avec les retrouvailles de Max, Hanna et Werner dans un Berlin en ruines. Mais avant cela, nous avons suivi la mission des membres de l’OSS, des partisans polonais pour empêcher le Silbervogel de prendre son envol. Et surtout, en voyant que Hanna s’est portée volontaire pour piloter l’engin qui a pour objectif de détruire New York.
Ce dernier tome apporte son lot de surprises et de rebondissements.Ceux qui ont suivi cette aventure avec passion ne seront pas déçus.
Yann est un excellent raconteur d’histoires. Et quand il est fort inspiré par son sujet, cela donne des récits passionnants et prenants. Les amateurs apprécieront aussi les clins d’oeils à l’œuvre d’Edgard P.Jacobs : Blake et Mortimer.
Quand à Alain Henriet, son dessin est efficace. Il offre des planches de toutes beauté, très efficaces, il termine magnifiquement cette aventure. Il n’y a pas un défaut, tout est parfait, avec quelques passages très impressionnants. De plus, Yusagi fait elle aussi un superbe travail dans la mise en couleurs.
Si vous n’avez pas encore lu Dent d’ours, il va falloir vous y mettre. Lorsqu’on voit cette conclusion, on sait que l’on a bien fait de suivre cette série, à la hauteur de nos attentes.
Une œuvre à lire et relire sans modération.
Par BERTHOLD, le 6 novembre 2018