Au début du 19e siècle, le delta de la fameuse Rivière de perles, en Chine, est le fief de la « confédération » des pirates, dirigée par l’intrigante Zheng Shi. Pour assurer la paix pour tous, elle a conclu un certain nombre de marchés avec les autorités, notamment avec le gouverneur. Mais ce dernier, inquiet de l’insolence dont fait preuve la jeune femme en s’attaquant aux bateaux chinois, essaye de rallier les autorités portugaises à sa cause, sans succès. Comprenant que le désordre pourrait lui servir, et plus particulièrement l’aider à se débarrasser de ce gouverneur un peu trop gênant, Zheng Shi intensifie ses attaques et finit par les étendre à la flotte portugaise, elle-même…

Atlanta, février 1866.
De retour en ville, Scarlett O’Hara découvre ce qu’il en reste. Ce n’est quasiment que ruines et désolation. En compagnie de Mammy, elle parvient enfin à rejoindre la maison de tante Pitty. Scarlett y retrouve Peter. En discutant avec sa tante, elle apprend que Rhett Butler est en prison et qu’il devrait être pendu. On avance que l’homme serait riche…

Tanis, jeune fille aux cheveux blancs habitant dans la vallée du Nil, 10 000 ans avant notre ère, s’introduit un soir dans le la pyramide d’Osiris, avec son seul ami, Sepi. En y volant le masque du géant, ils commettent un terrible sacrilège : des rochers de feu s’abattant alors sur le village. Mais Sepi, revêtu du masque, arrête d’un simple geste cette subite chute de météorites. Les villageois voient alors en lui un Osiris ressuscité…

Les élections présidentielles se rapprochent, et le président Thierry Langlois compte bien les remporter à nouveau. Mais son image auprès des Français est chaque jour plus mauvaise que la veille ! Ses conseillers vont alors avoir l’idée de lui trouver une Première Dame afin de redorer son blason. Mais, contre toute attente, le chef d’Etat va tomber amoureux d’une actrice de film d’auteur, militante et engagée… Celle-ci va venir perturber les plans des communicants comme des rivaux, apportant une certaine fraicheur dans le Palais de l’Élysée.

Oui, mec, je suis Horse Badorties et je vis seul dans une turne de la quatrième rue à New York et que je squatte généreusement. Mon chez-moi est un véritable capharnaüm d’objets plus ou moins crasseux dans lesquels, baby, je vogue aléatoirement. Bercé par le ronronnement de mon ventilo japonais à pile, moi, Horse Badorties, je tire des plans sur la comète, mec, et je sais rester cool en toute circonstance. Magneto japonais à la main, ventilateur dans la besace avec des partitions et d’autres trucs qui pourraient s’avérer indispensables, je pars, mec, en pèlerinage pour recruter des poulettes pour la chorale de l’amour que je suis en train de créer en l’église de St Nancy. Ça va être merveilleux, mec, à condition de ne pas être contrarié par les portoricains et leur musique incapacitante.