Philippe AYMOND
Scénariste / Dessinateur / Coloriste
Né à Paris le 3 février 1968, Philippe Aymond se destine tôt à la BD et obtient une maîtrise d'Arts Plastiques. Jean-Claude Mézières l'engage en 1989 dans le studio Canal Choc qu'il a fondé avec Pierre Christin et où se rodent déjà Labiano ou Chapelle. Pendant dix ans, Christin sera ainsi le scénariste attitré du jeune débutant.
Il met tout d'abord la main à la pâte en participant avec Labiano et Chapelle à une quadrilogie présentant chez les Humanoïdes Associés une équipe de journalistes de télévision face à d'extraordinaires évènements : "L'Image disparue" (1990), "Les Capitaines aveugles" (1990), "Les Corps masqués" (1991) et "Les Chasseurs d'invisibles" (1992).
En 1994, Pierre Christin publie chez Dargaud l'étrange album de "L'Homme qui fait le tour du monde", où Max Cabanes se charge des illustrations tandis qu'Aymond réalise des planches BD aérant ce qui se révèle être une sorte de reportage aventureux au texte abondant. Cette initiative singulière ne bouleverse pas l'univers du Neuvième Art, aussi le scénariste revient-il vers une voie plus traditionnelle et lui écrit ensuite une nouvelle quadrilogie chez le même éditeur, la série des "4 x 4", publiée de 1997 à 2000 : "La Première rencontre", "La Vitrine de la honte", "L'Ombre du triangle", "La Dernière rencontre". Toujours avec Christin, Aymond a également publié en 1997 "Les Voleurs de villes" chez Dargaud.
Avec le changement de millénaire, il se choisit un nouveau scénariste, Bollée, et lance avec lui chez Dargaud une épopée plus cataclysmique : "Apocalypsemania", dont trois épisodes s'enchaînent rapidement : "Couleurs spectrales" (2001), "Experiment IV "(2001), "Global underground" (2002).
Jean Van Hamme est séduit par son dessin élégant et sobre. Aussi lui confie-t-il la destinée graphique du nouveau personnage qu'il réserve aux éditions Dupuis en 2003, l'énigmatique "Lady S" qui a tout pour devenir le nouveau best-seller de ce scénariste béni par les Muses. Après de longues années où il a illustré des histoires lui parvenant plus ou moins régulièrement par fragments, Philippe Aymond est emballé par la qualité du sujet et le fait de disposer de la totalité du découpage avant même le premier coup de crayon. Pour lui, cette nouvelle aventure est comme s'il s'embarquait dans la Rolls Royce du scénario !
Il met tout d'abord la main à la pâte en participant avec Labiano et Chapelle à une quadrilogie présentant chez les Humanoïdes Associés une équipe de journalistes de télévision face à d'extraordinaires évènements : "L'Image disparue" (1990), "Les Capitaines aveugles" (1990), "Les Corps masqués" (1991) et "Les Chasseurs d'invisibles" (1992).
En 1994, Pierre Christin publie chez Dargaud l'étrange album de "L'Homme qui fait le tour du monde", où Max Cabanes se charge des illustrations tandis qu'Aymond réalise des planches BD aérant ce qui se révèle être une sorte de reportage aventureux au texte abondant. Cette initiative singulière ne bouleverse pas l'univers du Neuvième Art, aussi le scénariste revient-il vers une voie plus traditionnelle et lui écrit ensuite une nouvelle quadrilogie chez le même éditeur, la série des "4 x 4", publiée de 1997 à 2000 : "La Première rencontre", "La Vitrine de la honte", "L'Ombre du triangle", "La Dernière rencontre". Toujours avec Christin, Aymond a également publié en 1997 "Les Voleurs de villes" chez Dargaud.
Avec le changement de millénaire, il se choisit un nouveau scénariste, Bollée, et lance avec lui chez Dargaud une épopée plus cataclysmique : "Apocalypsemania", dont trois épisodes s'enchaînent rapidement : "Couleurs spectrales" (2001), "Experiment IV "(2001), "Global underground" (2002).
Jean Van Hamme est séduit par son dessin élégant et sobre. Aussi lui confie-t-il la destinée graphique du nouveau personnage qu'il réserve aux éditions Dupuis en 2003, l'énigmatique "Lady S" qui a tout pour devenir le nouveau best-seller de ce scénariste béni par les Muses. Après de longues années où il a illustré des histoires lui parvenant plus ou moins régulièrement par fragments, Philippe Aymond est emballé par la qualité du sujet et le fait de disposer de la totalité du découpage avant même le premier coup de crayon. Pour lui, cette nouvelle aventure est comme s'il s'embarquait dans la Rolls Royce du scénario !