100 BULLETS
Il était une fois le Trust
Jack et Mikey sont sur la route d’Atlantic City. Mais avant d’atteindre leur objectif, ils vont s’arrêter chez Garvey Metcalf, le cousin de Mikey. Metcalf tiens un "zoo", mais d’un genre particulier. Les animaux sauvages ne sont pas vraiment pas là pour amuser et divertir le public. Non, les animaux ont un autre destin.
Sur place, cela va mal tourner. Il y a un peu trop de monde qui se rend dans ce zoo.
Et Jack a une arme, celle qu’un certain Graves lui a donné.
Avec 100 balles.
Par berthold, le 16 juin 2010
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782809413458
Notre avis sur 100 BULLETS #10 – Il était une fois le Trust
100 Bullets est une œuvre noire, déroutante, fascinante, violente signée Azzarello et Risso. Cela je vous le dis déjà depuis 10 tomes.
Plus nous avançons dans le récit, plus nous en apprenons sur les Minutemen, le Trust ou encore sur le dessein de Graves.
Ce nouvel opus reprend les épisodes 47 à 49 ainsi que le cinquantième numéro.
Les trois premiers épisodes nous présentent deux losers, Mikey et Jack. Mikey fait partie de ce genre de tocards comme nous en voyons beaucoup dans les polars. Il a un pote plus costaud, un taiseux comme on dit dans le milieu. Mais quand il cause, ça veut dire que cela va mal se passer.
Azzarello va faire monter la pression petit à petit. Il va nous présenter des personnages qui ont tous quelque chose à cacher où qui semblent avoir des affaires louches et bien sûr, cela va mal tourner.
C’est encore une fois une très bonne histoire, bien dans la tradition du genre.
Le dernier récit va nous conter l’histoire d’un autre minuteman mais aussi comment est né le Trust. Et cela remonte à loin, en effet. Azzarello nous présente quelques personnages dans un bar. Nous sentons qu’il s’est passé quelque chose, que cela a mal tourné. Puis, nous serons témoins d’un gunfight assez violent où Victor va se montrer très "convaincant".
Risso est vraiment un grand dessinateur. Il est très à l’aise dans ce genre de récit. Il sait créer une ambiance. La scène importante où Victor sort dans la rue est assez dans le style Tarantino, John Woo.
L’introduction est signée du compère d’Eduardo Risso sur Fulù, Borderline : Carlos Trillo.
Ce dixième tome montre encore que la série 100 Bullets a des choses à nous dire. Pour notre plus grand plaisir !
Par BERTHOLD, le 16 juin 2010
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