A BOIRE ET À MANGER
Les pieds dans le plat
Guillaume Long vient de concocter un nouveau recueil de ses meilleures astuces pour toujours mieux manger. Bon, il y a aussi mis son carnet de voyage de Stockholm, sa notice pour utiliser la boîte à faire des oeufs carrés de Pif Gadget, le récit d’une journée à France Inter ou encore le parchemin du secret de la vraie recette des spaghetti alla carbonara. Bref, vous l’aurez compris, il y a vraiment, là dedans, à boire et à manger !
Par legoffe, le 22 janvier 2013
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782070649839
Notre avis sur A BOIRE ET À MANGER #2 – Les pieds dans le plat
Près d’un an après le premier volume, Gallimard publie un second recueil des meilleures chroniques dessinées par Guillaume Long sur son blog culinaire du Monde.fr
L’idée est à saluer car le premier volume avait remporté un joli succès, largement mérité. L’humour décalé de l’auteur, assaisonné d’astuces pour mieux cuisiner ou mieux manger, avait donné forme à un ouvrage savoureux. Outre de bonnes recettes, l’auteur abordait aussi de façon originale et inattendue la gastronomie selon des angles très variés.
Le second opus reprend les mêmes recettes et nous ouvre de nouveaux horizons gustatifs. Il met en avant des ingrédients méconnus ou incompris plutôt, comme la courge butternut ou les salsifis (si si, y a des gens qui en mangent, je vous jure).
Mais il nous ouvre aussi les yeux sur des recettes que l’on pense parfois bien maîtriser, car classiques, alors que nous commettons des sacrilèges (oui, vous l’avez compris, je parle des pâtes carbonara pour lesquelles je suis sûr que, comme moi, vous utilisiez jusque-là de la crème fraîche !!!).
Le livre est une mine d’or pour qui aime cuisiner un minimum tout en s’amusant, grâce aux commentaires croustillants de l’auteur. J’ai juste trouvé que le livre avait perdu un peu de sa fraîcheur par rapport au premier tome. Est-ce lié à la perte de l’effet de surprise ? Ou bien à un humour moins relevé et original ? Il y a peut être un peu des deux. Pourtant, pas de quoi sentir le roussi. D’ailleurs, la dernière partie du livre est peut être la meilleure. La preuve que l’auteur sait se renouveler (Jack Bauer et le foie gras, par exemple, il fallait oser) et mitonner de nouvelles recettes.
Par Legoffe, le 22 janvier 2013
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