ACRIBOREA
Les ruines de l'aréopage
Le colonel Nathan Palliger se rend sur la planète Hope pour observer les opérations militaires face aux Phasmides, des ennemis mystérieux et que les troupes n’ont pas réussi à attraper.
Quant à Jasper Niemeyer , il est dans une prison spéciale avec d’autres personnes ayant des pouvoirs puissants comme lui. Il va faire connaissance avec certains d’entre eux.
Mais pour Jasper ou Nathan, le danger est toujours là, présent autour d’eux.
Par berthold, le 1 janvier 2001
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
2756001473
Notre avis sur ACRIBOREA #2 – Les ruines de l’aréopage
Cinq mois après la sortie du premier tome, voici enfin la suite.
Ce second tome s’avère encore plus réussi que le précédent.
C’est du très bon space-opéra que nous découvrons au fil des pages. Nous suivons l’action à deux niveaux. D’une part nous suivons Nathan Pallinger sur la planète Hope et d’autre part, nous surveillons Niemeyer depuis sa prison. L’histoire vous laisse peu de répit. C’est rythmé. Graphiquement, Stéphane Créty nous émerveille avec son dessin. Aussi à l’aise dans les scènes de jungle que dans les scènes d’intérieurs. D’ailleurs, l’attaque de la prison par la créature fait penser à Alien. C’est un grand moment de suspense. Moi-même, je me suis fait avoir. Il y a du mouvement dans le dessin. Par moment, j’ai vraiment l’impression qu’il s’anime. C’est fou, ça. Vous me direz si vous ressentez ça aussi. Les auteurs ont su choisir aussi les seconds rôles. Finalement, on s’intéresse à tout dans cette oeuvre. On suit avec intérêt, on ne perd pas une miette de cette saga.
Je suis impressionné par le talent de Créty et Cordurié. Acriboréa vaut vraiment le détour. Je ne veux pas trop vous en dévoiler non plus. On pourrait parler pendant un moment de telle ou telle case. Mais arrêtons-nous sur celle-là : la case 22/2.
Bref, ne passez pas à côté de cette grande série SF. Je pense que le lecteur va encore être encore plus surpris lors des prochains tomes.
Par BERTHOLD, le 19 septembre 2006
Publicité