AETHERNAM
Livre I - Samhain
La nuit d’Halloween, Dante Seyres èrre dans les rues de Paris. Le moral au plus bas, il passe de l’autre côté de la rembarde du pont St-Michel pour peut-être en finir avec la vie quand tout à coup, une sorte de portail magique s’ouvre et Dante rentre en contact avec des créatures fantastiques. Dante se réveille après avoir perdu conscience et est emmené au poste de police où il devra fournir des explications sur ce qui s’est passé cette nuit… La police mènera une enquête quand il s’agira d’une véritable quête pour Dante, aux frontières de l’iréel…
Par Placido, le 18 février 2011
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782848103150
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Notre avis sur AETHERNAM #1 – Livre I – Samhain
D’emblée, Aethernam présente un intérêt certain du fait de sa double face, mélange astucieux des genres policier et fantastique. Deux mondes parallèles où on retrouvera l’enquête policière d’un côté et la découverte d’un univers fantasmagorique de l‘autre. Ce dernier se prénomme l’Aether, un monde parallèle invisible aux humains, où vivent des êtres des quatres éléments, le feu, la terre, l’air et l’eau. Jusqu’à cette nuit d’Halloween, jour de Samhain, aucun humain n’était rentré en contact avec ce monde, Dante se présente donc comme un élu qui soulèvera bien des questions des deux côtés. Le passé douloureux de notre héros qinsi que sa nuit agitée (sur le pont St-Michel) intriguera la police tandis que l’arrivée de Dante fera jazzer dans l’Aether.
Le solide background et le scénario bien ficelé ne suffiront, pas malgré tout, à me comblée pleinement, la faute à une histoire qui pêche peut-être un peu en originalité, juste pour exemple, c’est le mec pommé dans la vie, qui n’a rien à perdre et qui est en fait promis à un destin extraordinaire, c’est l’être de feu qui passe pour le grand méchant anti-humain alors que les autres sont gentils… J’ai également eu du mal à m’attacher aux personnages, à m’inprégener de ce monde qu’est l’Aether, les dialogues, quoiques suffisamment efficaces sont très classiques et l’ambiance reste assez neutre, retranscrit par un dessin qui a pourtant son caractère. Un aspect de l’histoire me semblait intéressant, au niveau des émotions que peuvent ressentir les différentes créatures (et Dante aussi) et surtout ce qu’elles peuvent créer à partir de ces émotions, mais j’ai eu un peu le sentiment que l’idée n’était pas suffisamment exploitée, la faute aussi à un scénario exigeant, dense et très dynamique (ce qui reste un moindre mal).
Aethernam reste une relative bonne lecture qui, même si elle ne marquera mon esprit, trouvera aisément son public. Un public qui entrera en contact avec l’Aether et qui en ressortira conquis, sans aucun doute.
Par Placido, le 18 février 2011
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