AGENCE (L')
Dossier Pazuzu

 Avril 2003. Irak.L’armée américaine combat dans le centre ville de Bagdad. Un commando d’hommes masqués s’attaque au Musée Archéologique de la ville. Ces gars là s’emparent de quelque chose de spécial et laissent la place à une foule d’Irakiens qui dépouillent tout dans ce musée.
A Venise, ce jour là, Rafaello Di Gotto, le patron de l’équipe du MX-22 reçoit un appel spécial et prévient le Pentagone qu’il se passe un gros évènement au musée de Bagdad, mais il est trop tard.

De nos jours. New York.
Rafaëllo sort d’une conférence au siège de l’ONU. Lorsqu’il sort du bâtiment, un homme, un Sunnite qui a travaillé au musée de Bagdad et qui a perdu sa place après la chute de Saddam Hussein, l’interpelle. Cet homme veut lui dire quelque chose mais est abattu. Rafaëllo va réunir son équipe deux jours plus tard à Paris pour les mettre sur la piste des pièces qui auraient été volées en 2003 au Musée Archéologique

Par berthold, le 26 juillet 2012

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Notre avis sur AGENCE (L’) #2 – Dossier Pazuzu

Cette nouvelle enquête de L’Agence nous entraine au coeur de l’actualité avec la guerre en Irak en cette année 2003, entre autres. Nous allons les suivre quelques années après sur la piste de tablettes datant d’une lointaine période babylonienne permettant d’invoquer le démon Pazuzu.
Pazuzu ? Certains d’entre vous connaissent ce nom puisqu’il est celui du démon qui était présent dans le film de Friedkin : L’exorciste.

Jean-Claude Insiders Bartoll se base sur des faits réels pour le point de départ de cette aventure. Ce second tome est vraiment bien rythmé, riches en rebondissements et suspense. Les personnages prennent plus d’ampleur, plus de place tout comme les "hommes" de mains du " tsar". Il y a cette jeune femme d’origine russe qui sait manier les armes, qui semble avoir un lien avec Saint Alban du MX-22. Quel est ce lien ? Ca, c’est que l’on découvrira dans la suite.
En attendant, vous allez passer un bon moment dans le désert irakien, sur mer à bord d’un navire de croisière, et tout cela en étant mené par un rythme d’enfer, conçu par un Jean-Claude Bartoll en grande forme et servi par le dessin efficace de Thomas Legrain. Là encore, il fait un très bon travail et nous montre qu’il est très à l’aise dans les scènes d’action tout comme pour dessiner des jolies filles sexys !

Bref, un tome 2 fort réussi et efficace, qui vous entraine dans une aventure digne de ce nom pour votre plus grand plaisir de lecteur. L’Agence montre qu’elle a du potentiel et que la série s’aventure dans des intrigues assez originales.

 

Par BERTHOLD, le 26 juillet 2012

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