AGENT 212 (L')
Fauve qui peu !
Qui est le plus dangereux pour Arthur, l’agent 212 ? Se retrouver face à un lion dans une fosse, prendre le ballon du XV de France ou se retrouver face à sa belle-mère?
Puis, il a l’air d’être au bout du rouleau, Arthur. Trop de stress? Il semblerait qu’il ait fait deux tentatives de suicides…
Par berthold, le 16 novembre 2009
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
9782800145990
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Notre avis sur AGENT 212 (L’) #27 – Fauve qui peu !
Fauve qui peut ! voit le retour du policier le plus célèbre du neuvième art : Arthur plus connu sous le matricule 212.
Encore une fois, Raoul Cauvin et Daniel Kox vont vous donner une bonne dose de rires avec les nouvelles facéties et gaffes de notre sympathique policier. Il faut le voir dans la fosse avec le lion lui faisant quelques caresses sur les fesses et la lionne prête à jouer aussi avec lui. Il faut le voir vouloir jouer au rugby et poursuivi par une meute de gaillards mené par un clone de Chabal. Il faut aussi le voir renversé par sa propre voiture conduite par la belle-mère. Il faut le voir lors de l’inauguration de la statue du grand ecrivain écossais Sir Mac Covin la tête pris entre les jambes. Il faut le voir s’énerver face à sa belle-mère et manquer de la noyer ou de la faire mourir de peur.
Cauvin est toujours aussi inspiré avec ce personnage. Je trouve même que cet opus est bien meilleur que le précédent. J’ai bien aimé le récit de ce gars qui fait une conférence sur les droits et la défense des cambrioleurs et qui, finalement, est victime d’un cambriolage. Quand on y pense à ce que dit cette homme, la loi parfois est mal faite, non ? Mais, bon, nous ne sommes pas là pour parler de ça. Mais plutôt de ce nouvel opus de l’agent 212 où Cauvin vous fait passer un agréable moment de détente.
Le style gros nez de Kox me plait bien. Ces personnages sont vraiment expressifs. Je repense à une des expressions du chef d’Arthur et j’en rigole encore. Le dessinateur y met des détails dans ces cases; il vous faudra ouvrir l’œil.
Bref, Fauve qui peut ! est un bon tome réussi de L’agent 212 où les gags font mouches à chaque fois. Pourquoi se priver d’un aussi bon moment de lecture ? Cela l vous donnera une autre opinion des policiers.
Par BERTHOLD, le 16 novembre 2009