AIGLES DECAPITEES (LES)
La prisonnière du donjon
Parti à la rescousse de son ancienne amante Alix, Hughes de Crozenc et son petit compagnon Conan arrivent au terme de leur périple à la forteresse de Peyrepertuse.
Afin de s’approcher au mieux de celle-ci, ils se font embauchés comme tâcherons au château.
De son côté, Sygwald recherche activement son seigneur et ami Hughes trahi par Ravenaud. Sa lâcheté mise à jour, ce dernier fuit à Peyrepertuse pour tenter de retrouver Hughes avant Sygwald et l’assassiner. Pour ce faire, il s’allie avec le maître des lieux, Roger de Castelnau.
Lors de son intrusion dans la place, Sygwald est dénoncé par Ravenaud devant les yeux d’Hughes et emprisonné.
Celui-ci va devoir monter toute une stratégie pour signaler sa présence à Alix et délivrer son maître d’armes incarcéré.
Par phibes, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2723427641
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Notre avis sur AIGLES DECAPITEES (LES) #7 – La prisonnière du donjon
Nous abandonnons les rives de la Creuse pour se retrouver en Pays d’Oc. Surnommée la citadelle du vertige, Peyrepertuse (pierre percée) est une forteresse audoise juchée sur un éperon rocheux culminant le village de Duilhac. Jusqu’en 1240, elle est une possession cathare. Après cette date, elle devient une propriété française remise aux barons du nord par le roi Louis IX pour, entre autres, en assurer la conservation.
On retrouve la belle Alix, prisonnière de son oncle, Roger de Castelnau, qui n’a pu déceler le piège tendu par celui-ci. Le maître des lieux va de plus bénéficier de l’aide inattendue de l’ancien vassal d’Hughes de Crozenc pour mener à bien ses projets.
Cette deuxième partie de l’aventure entamée dans le tome n° 6 intitulé « Alix » est conforme à la suite que l’on espérait. Le suspense est bien entretenu par une quête qui n’en finit pas et qui use les nerfs du lecteur jusqu’à l’« emprisonner » dans l’intrigue. Les ingrédients tels que la trahison, la manigance, la lâcheté, l’amour, le désespoir sont bien en place et assurent une qualité incontestable au récit.
Les dessins sont toujours efficaces et traduisent le plaisir que doit ressentir Michel Pierret à leur exécution.
Par Phibes, le 2 mai 2007
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