AIGLES DECAPITEES (LES)
La marque de Nolwenn

De retour à Crozenc, Hughes doit rendre un dernier hommage à son défunt compagnon Sygwald. Rendue responsable du décès de celui-ci, Nolwenn est emprisonnée dans l’attente de l’annulation de son mariage forcé avec Hughes.
De son côté, Alix retrouve enfin la compagnie du seigneur de Crozenc qui lui exprime son amour. Sachant Nolwenn condamnée, elle décide de l’aider à fuir le courroux de son pseudo époux.
Afin de venger définitivement Sygwald, Hughes se rend au château de Cuzion pour déposséder Ravenaud, son ancien vassal et tombe dans un piège abominable. Unique survivant, il fuit à travers la forêt pour tomber entre les mains de Nolwenn qui lui avoue porter son enfant.
Défiguré par la fuyarde et décontenancé par la nouvelle, il retrouve le chemin de Crozenc et prépare, dès son retour, un nouveau sac de la forteresse de Cuzion.

Par phibes, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur AIGLES DECAPITEES (LES) #8 – La marque de Nolwenn

Hughes de Crozenc revient parmi nous pour de nouvelles aventures chevaleresques qui le ramènent en son fief d’origine, la forteresse de Crozenc. Privé de son mentor et ami, il n’a pas le temps de savourer les retrouvailles avec son aimante Alix. En effet, se profilent à l’horizon de nouvelles traîtrises émanant de son ancien vassal et son épouse par contrainte.

Le binôme composé par Jean-Charles Kraehn et Michel Pierret fonctionne toujours aussi bien et propose une nouvelle intrigue plus sanglante que les précédentes. L’étendard supportant les 3 aigles décapitées est une nouvelle fois meurtri et son équilibre est des plus précaires.

Les graphiques évoluent favorablement, les visages sont plus ronds et plus animés. Michel Pierret, dans son professionnalisme, se permet de faire des gros plans efficaces dans des planches au découpage et aux couleurs très conventionnels.

Bien que cette série ait déjà 8 albums à son actif, c’est avec un réel plaisir que l’on suit ces mésaventures d’un siècle passé qui auront, pour les adeptes d’équipées médiévales, l’occasion comme Nolwenn de vous marquer profondément.

Par Phibes, le 5 mai 2007

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