AKUMETSU
Volume Quinze
C’est dans le bâtiment gouvernemental de la caisse des retraites que le grand nettoyage d’Akumetsu continue. Avec plusieurs de ses clones, « armés » de guitares électriques, ils vont assurer le show, jouant leur version de It’s raining men… pour ainsi dire !!!
De défenestration en défenestration, c’est (donc) par les fenêtres que la population voit tomber ses fonctionnaires. Et les liquidations sont si nombreuses que bientôt, il n’y a plus assez de monde aux commandes et les affaires étatiques ne peuvent plus être gérées correctement (si on peut dire qu’elles l’étaient).
Voilà qui met le premier ministre dans une situation encore plus délicate et stressante. D’autant que l’ultimatum que lui a lancé Akumetsu expire maintenant dans 7 jours !!!
Par sylvestre, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782351803158
Notre avis sur AKUMETSU #15 – Volume Quinze
C’est mathématique ! Avec Akumetsu se multipliant à loisir et avec des victimes potentielles en nombre quasi illimité, la combinaison des deux permet des formules d’actions d’ampleur toujours plus grande ! Et comme ces actions ont su se montrer particulièrement spectaculaires depuis le début de la série, je vous laisse imaginer l’horreur qu’on se voit conter dans ce 15ème opus de cette saga décidément politiquement incorrecte !
A grands coups de riffs de guitares et de défenestrations aux issues sanglantes, les auteurs font évoluer la besogne d’un Akumetsu dont on finit par se demander d’une part s’il sera un jour satisfait, et d’autre part s’il aura quelque chose à proposer lui-même, au final, lorsque plus aucune de ses cibles n’existera !!!
Avec un dessin toujours aussi bon et portant bien les actions (masqué, Akumetsu a vraiment du style, il faut le reconnaître !) ce manga reste un rendez-vous de choix pour les amateurs de seinen furieux. Cette série est un must dans le genre. Elle voit sa fin approcher en même temps que le temps laissé à Murase s’écoule puisqu’elle sera clôturée par le tome 18. Profitons-en donc à fond jusque là !
Par Sylvestre, le 10 juillet 2009