ALGERNON WOODCOCK
L'Oeil Fé

Algernon Woodcock est un jeune médecin de l’époque victorienne. Son
physique et ses manières sont singuliers, autant que peut être banal
William Mc Kennan, son ami et camarade de promotion de la faculté de
médecine.
Ce dernier, pour son premier poste, un remplacement, part avec son ami
Algernon dans la demeure de leur confrère au bord de la mer.
Alors que William est parti en tournée, Algernon doit se rendre au chevet
d’une riche et étrange patiente qui doit accoucher.

Par TITO, le 1 janvier 2001

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3 avis sur ALGERNON WOODCOCK #1 – L’Oeil Fé

Je suis impressionné par ce tome. En effet, il a pour mission de planter le
décor : la tonalité des dessins, l’ambiance, le contexte, les personnages
et le début d’une nouvelle série. Pourtant on est instantanément accroché.
Algernon a tout pour devenir un héros mythique de la BD à l’égal d’un John
Difool ou d’un Peter Pan. Le scénario est complètement maîtrisé et les
dessins de Sorel ont atteint un maturité impressionnante (quel chemin
parcouru depuis l’île des morts !).
Cette saga en devenir promet énormément (peut être trop, on sait que les
trop bons débuts peuvent cacher un auteur qui va se chopper un gros melon,
cf. Sasmira?) et ce tome 1 peut être lu pour lui même, pour ses qualités
graphiques et scénaristiques affirmées, et pour faire la connaissance du
phénomène Woodcock.
Enfin, le mystère de l’auteur A. Woodcock se retrouvant héros d’un de ses
propres écrits (lire à ce sujet la dédicace) demande à être éclairci.
Peut-être y découvrirais-je encore d’autres raisons d’apprécier cet album?

Par TITO, le 28 juillet 2002

Très bonne surprise que cet album.
Du fort bel ouvrage que ce soit
le scénario ou le dessin.
L’ambiance,pfouh…bravo à Mr Sorel.
Que dire si ce n’est que le lecteur demande la suite tant on est pris par cette oeuvre.

A suivre donc…

Par BERTHOLD, le 2 septembre 2002

Cet album est une merveille!… Que cela soit sur le graphisme de Sorel ou sur l’adaptation du scénario. Avec ce genre d’oeuvre, les auteurs de BD attaquent des genres littéraires bien particuliers comme le « spleen » que l’on peut sentir transpirer de ce livre. La suite ne pourra, sauf erreur de ma part, qu’être équilibre et pensée.

Par Tata Tita, le 24 février 2003

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