ALICE MATHESON
Jour Z
Alice Matheson est une tueuse de malades… C’est son passe temps favori. Autrement, c’est une infirmière plutôt discrête et sans histoire. Ses collègues ne savent que peu de chose sur elle.
Un soir, elle enlève la vie à une malade atteinte d’un cancer incurable. Elle se délecte de voir la vie quitter le corps de la patiente. Une fois ses outils rangés, Alice est surprise de constater que le corps a bougé. Serait-ce une erreur de dosage dans les substances injectés ? Non, le corps se lève… D’un mouvement sec et précis elle lui tranche la carotide, mais rien n’y fait, le corps se débat encore. Armée d’une perceuse, elle lui plante le foret en pleine tête. Le corps s’écroule… Mais d’autres cadavres se lèvent…
Par aub, le 23 juin 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782302046344
Notre avis sur ALICE MATHESON #1 – Jour Z
Voici une nouvelle Bande Dessinée pleine de zombies.
A n’en pas douer les passionnés du genre vont dévorer cet ouvrage. "Alice Matheson" est publié dans l’excellente collection Anticipation des Editions Soleil. Collection qui a déjà plusieurs titres à grand succès tels que Zombies, Zombies Nécrologies et 2021. Il fallait donc taper fort pour arriver au niveau, et c’est indéniablement chose faite et réussie.
Jean-Luc Istin n’en est pas à son coup d’essai et une fois de plus, ce scénariste plus que prolifique nous offre un album au scénario très bien mené et rondement ficelé. Même si vous n’aimez pas les histoires de Zombies, l’album vous plaira, car derrière cette histoire il y a le personnage plusqu’énigmatique d’Alice Matheson.
Une infirmière, discrète, forte, intelligente et quelque peu sexy…
Ce tome 1 est un album qui pourrait être lu totalement indépendamment des 5 autres tomes déjà prévus pour cette saison 1.
Même dans les sorties, les titres l’on peut voir que déjà cette série est prévue pour durer et c’est tant mieux, car franchement ça vaut le détour.
A n’en pas douter les amateurs de sueurs froides sont servis et vont en redemander… Et c’est mon cas, j’ai ma dose, mais j’en reveux…
Par AUB, le 23 juin 2015