AMULET
Le prince des Elfes
Cinquante ans en arrière, et malgré l’aide précieuse qu’ils avaient apportée à la société, les Elfes ont été considérés du jour au lendemain comme des ennemis. C’était dur à vivre pour Max et Layra qui, malgré leur différence de races, étaient bons amis. Mais c’était ainsi : l’Histoire était en marche. Cela dit, Max avait eu un ultime généreux geste envers Layra et sa famille, leur permettant de fuir la guerre qui s’annonçait : une initiative qui allait lui valoir la prison bien que son père fut haut placé. Une prison de laquelle il s’échappera pour aller servir sous la bannière elfe, ce qui le conduira à croiser le chemin d’Emily et de ses compagnons…
Par sylvestre, le 12 novembre 2012
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782355741173
Notre avis sur AMULET #5 – Le prince des Elfes
Peut-être ressentirez-vous, vous aussi, une sorte de malaise lors de votre lecture de ce tome 5 de la série Amulet… C’est en tout cas ce qui m’est arrivé lorsque, après avoir pourtant apprécié les tomes précédents, j’ai bloqué sur celui-là. Que m’est-il arrivé ? Comment expliquer cette sensation ? Ce n’est pas de la faute du dessin, en tout cas : il est toujours aussi agréable, clair et lisible. C’est donc sans doute la faute du scénario qui m’a semblé bien plus compliqué que ce à quoi on avait eu droit jusque là.
Cette série Amulet qui semblait depuis le départ s’adresser aux enfants autant qu’aux adultes m’a paru cette fois-ci ne pouvoir intéresser que les plus grands car présentant un décalage entre le graphisme "accessible à tous" et des considérations plus complexes que d’ordinaire. Pas qu’on n’ait jamais vu de bandes dessinées traiter de sujets sérieux ou complexes avec l’aide de dessins simples… Non, bien sûr. Mais là, il m’est apparu qu’il y avait changement dans un rythme de croisière jusque là établi.
Impression mitigée et frustrante, donc. J’espère que les qualités du tome 6 me réconcilieront avec la suite ou m’éclaireront a posteriori sur ce qui m’a échappé cette fois…
Par Sylvestre, le 12 novembre 2012