ANACHRON
Pavillon Noir sur la Capricieuse

Après leur victoire sur le Non-Nommé, Hugo Varega, Marconius et Wodan se font intégrer dans les rangs de l’Alliance.
Au sein de celle-ci, leur première mission sera de protéger la population d’Anachron contre le trafic de technologies venues d’autres mondes, ce qui pourrait complétement dérégler le cours normal de l’histoire de cette planète.
Ils vont donc être chargés de retrouver Enzo Lupino, un cambrioleur qui aurait dérobé sur Terre un octant, l’ancêtre du sextant, et qui compte le vendre aux plus offrants, et faire ainsi découvrir, plus d’un siècle avant l’époque normale, les secrets de la navigation en pleine mer.
Mais la mission ne va pas se dérouler tout à fait comme prévu…

Par RONAN, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ANACHRON #5 – Pavillon Noir sur la Capricieuse

C’est avec plaisir, mais non sans crainte que j’ai retrouvé cette série Anachron. Cet album commence ici un nouveau cycle, quelques temps à peine après la fin du premier.
Pourquoi ai-je eu des craintes ? Parce que débuter un nouveau cycle sur la même planéte, avec les mêmes personnages, alors que l’effet de surprise de la confrontation entre le moyen-âge et la haute-technologie est passé, s’avére un exercice risqué ! Le scénariste n’a pas droit à l’erreur s’il ne veut pas que cette nouvelle histoire ressemble de trop à la précédente. Alors verdict ?
Et bien on peut dire qu’avec ce tome, on reste un peu sur notre faim. Même si l’action se met en place rapidement, on se demande où les auteurs veulent emmener nos héros. On attend même longtemps avant de voir apparaitre la touche « magie » qui produit le décalage qui avait fait la réussite des premiers tomes. Mais une fois qu’elle est là, je me suis senti un peu rassuré sur l’intérêt de se nouveau cycle.
Au final, cet album commence doucement, pour s’accélerer dans les toutes dernières pages, laissant naître l’intrigue principale. Mais celle-ci tiendra-t-elle la distance ? Il est trop tôt pour le dire.
Notons tout de même que les dialogues sont toujours agrémentés de bons mots, et les dessins de Jurion sont toujours aussi sympatiques !

Par RONAN, le 19 avril 2005

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