ANGEL WINGS
Paradise Birds

Angela McCloud a reçu l’ordre de l’OSS d’emmener sur les bases du Pacifique, Betty Lutton, une pin-up écervelée, qui se drogue aux emphétamines, pour pouvoir remonter le moral des troupes. Cette mission n’est pas au gout d’Angela, mais elle découvre vite que derrière cette mission de routine il y a utre chose. Une autre mission de la plus haute importance, qui peut éviter un bain de sang pour l’armée américain en prévision d’un débarquement sur les côtes du Japon…

Par berthold, le 20 novembre 2017

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Notre avis sur ANGEL WINGS #4 – Paradise Birds

Paradise Birds ouvre un nouveau cycle des aventures de la pilote Angela McCloud.

Yann l’envoie, après la Birmanie, sur le Pacifique. Nous apprenons qu’elle a une mission de "taxi" puisqu’elle doit accompagner une jeune pin-up envoyée pour remonter le moral des troupes. Ce qui la rend d’une humeur execrable. De plus, à cause de sa passagère, elle manque de se faire dégommer par deux avions ennemis.
Mais, derrière tout cela, une autre mission l’attend. Une mission top secrète à plus haut risque et de la plus haute importance. De quoi booster la jeune pilote.
Ce quatrième tome démarre plutôt bien et nous offre de très bons moments, que ce soit dans certaines joutes verbales ou aériennes. Le suspense marche à la perfection ici. L’auteur des Innommables nous passionne avec ce début d’un nouveau cycle prometteur.

Et toujours aux commandes graphiques, nous retrouvons un Romain Hugault en grande forme.
Le Pacifique semble l’inspirer. Les paysages sont superbes, la lumière donne un air de paradis Sauf qu’il y a du danger, et nous avons droit à de belles sèquences aériennes où nous retrouvons les fameux "Corsaires" face à des avions japonais tout aussi prestigieux.
L’artiste met aussi en avant la beauté de sa belle héroïne, ce qui peut nous faire oublier par instant, l’horreur et la folie de la guerre.

Un très bon tome qui ouvre un nouveau cycle très prometteur. 
A noter que pour la première édition, un ex-libris exclusif nous est offert.

Par BERTHOLD, le 20 novembre 2017

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