AQUABLUE
Le totem de Cynos
Nao et ses amis, toujours bloqués sur DOYLE-1800, planète condanmée à brève échéance par le Voïvode, partent à la recherche de la sonde icarus, seule et unique chance de mettre un terme à la menace. Pour cela, il doivent retrouver la piste d’une tribu d’indigènes portant sur eux la marque d’icarus. D’autres veulent aussi les retrouver, mais dans une tout autre but, la chasse…
Par RONAN, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2840557614
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3 avis sur AQUABLUE #9 – Le totem de Cynos
J’ai acheté ce dernier tome d’Aquablue sans aucune précipitation, sauf pour la collection. J’ai mis 2 mois avant de me décider à le lire… et j’ai bien fait de ne pas me presser. je dois avouer que je suis très déçu par cette série qui pourtant m’avait tellement fait rêver quelques années plus tôt.
L’histoire est sympa… mais ce n’est plus Aquablue pour moi… On ne voit même pas la petite planète bleue. Pas une seul fois. Et Mi-nuee ou est-elle?
Quand a la fin de ce tome… elle est beaucoup trop baclée. Mais bon c’est peut être pas plus mal, comme ça il n’y aura pas de suite à cette histoire. Sinon j’ai pris le coffret avec… car c’est quand même bô.
Par AUB, le 15 juillet 2002
Grand fan de la série depuis plus de 10 ans, j’ai eu un immense plaisir à retrouver notre petit groupe d’amis dans cette suite sur le thème Fondation Aquablue. Ce tome comme d’autres de la série se déroule sur fond de défense de l’environnement, et sauvetage de la nature en danger. Malheureusement, je pense que sur ce tome, soit Cailleteau a manqué d’inspiration, soit la série s’essouffle, mais on ne retrouve plus du tout l’entrain des premiers Aquablue. Il n’y a plus de mystères, plus (trop) de rebondissement. L’histoire est linéaire et se termine (trop) rapidement. Coté dessins, rien à dire. Ils sont très bien, même si moi je regrette le temps de la paire Cailletau Vatine. Mais bon, quand on est fan, on est fan…
Par RONAN, le 1 janvier 2001
Ce nouveau cycle d’Aquablue manque de punch. Si l’idée de départ est louable (Nao est un écolo convaincu), le scénario manque quand même de rebondissement, et d’intérêt surtout. Pas ou peu de surprise : étant donné que le but de sa fondation est de percer les mystères de l’Univers, peut-être le centre de l’intrigue aurait dû porter plus sur les Cynos, ces créatures à mi-chemin entre le loup et le singe.
Au contraire du deuxième cycle, où l’on en apprend un peu plus sur Nao, les origines du naufrage, cette fois, je n’ai pas ressenti beaucoup de plaisir à lire cette BD (Attention, ce n’est quand même pas une mauvaise BD !). Peut-être les dessins de Tota y sont pour quelque chose. Personnellement, je n’aime pas trop, je préférais le coup de crayon de Olivier Vatine !
Par PATATRAK, le 22 août 2002
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