ARIA
Les chevaliers d'Aquarius
Alors qu’Aria est dans une auberge, un étrange individu fait son entrée. Il dit se nommé Stralabas, et est vêtu des pieds à la tête, de manière à cacher son apparence. Avec son bâton et ses clochettes, on le pendrait aisément pour un lépreux, et l’aubergiste souhaite le chasser. Un des convives présent souhaite faire de même, mais par la force, ce dont Aria l’en empêche. Elle fait donc accepter cet hôte étrange, et paie à sa place la chambre et le repas chaud qu’il demande.
En échange, Stralabas lui confie un secret qu’il ne faut en aucun cas divulguer, l’existence d’un lac miraculeux qui guérirait les maladies et autres blessures. Mais ceux qui écoutent aux portes sont nombreux, et voilà nombre de personnes qui se regroupent en un convoi pour le lac… Qui ne semble pas être ce qu’il est…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2800125640
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Notre avis sur ARIA #4 – Les chevaliers d’Aquarius
Pour une fois dans la série Aria, nous avons affaire à un one shot, mais qui dispose d’une suite dans le tome suivant. Pourtant, l’album se lit très bien tout seul, il ne manque rien à l’histoire, et c’est avec grand plaisir que l’on savoure cette nouvelle aventure d’Aria. Michel Weyland est décidément très inventif, et nous régale avec ses histoires, qui pour l’instant ne se ressemblent guère, mis à part l’univers dans lesquelles elles se déroulent. On a toujours ce petit détail un peu mystérieux, qui fait que l’histoire garde un certain halo de mystère, même la dernière page lue. D’habitude, le voile est un peu levé, ou entièrement, mais dans ce cas précis, pas complètement, on ne sait pas pourquoi ni comment, mais cela nous sera peut-être révélé dans le tome suivant, cela reste à voir ;o)
Comme à son habitude, le scénario se tient bien, et les dessins sont toujours plus que corrects. On ne se lasse pas de découvrir cette belle guerrière à la tunique blanche. Ce qui plait chez Aria, c’est aussi les couleurs, qui sont vraiment soignées, et qui ne gâchent pas l’ensemble. Elles sont adaptées et correspondent vraiment à l’oeuvre de Michel Weyland… Si ma mémoire est bonne, c’est d’ailleurs Nadine Weyland qui les signe sur certains albums…
Voilà peut-être le pourquoi du comment ;o)
Par Siam l'Archiviste, le 23 juillet 2003