ARIA
Le méridien de posidonia

Alors qu’elle chevauche de nuit, Aria croise le chemin d’un vieillard, qui vient vraisemblablement de s’évader, et alors qu’elle l’aide à s’enfuir, celui ci la désarçonne pour aller plus vite, mais il a tôt fait de se faire attraper, et étriper par des soldats. Aria est également capturée et conduite dans une grotte où des esclaves suent sang et eau en travaillant comme des forçats. Elle est désormais l’esclave de l’infâme Zonkre et de ses soldats.
L’évasion semble bien impossible, avec la chauve souris géante Srizy qui veille au grain… Mais Aria ne se laisse pas faire, et peut-être la chance sourit-elle aux audacieux…

Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ARIA #8 – Le méridien de posidonia

C’est dans cet album que j’ai remarqué pour la première fois que les couleurs et les dialogues étaient réalisés par Nadine WEYLAND, la compagne du scénariste et dessinateur, sans nul doute. Cette découverte semble peut-être anodine, mais je comprend désormais que la jeune guerrière ait des répliques si justes et qui cadrent bien avec un tempérament de femme. Je ne parvenais pas bien à comprendre comme le scénariste et dessinateur avait pu se mettre dans la peau d’Aria, je comprends plus facilement maintenant. Hormis cela, l’intrigue est une nouvelle fois bien menée, et le dessin est toujours aussi beau. Oui beau, je trouve que la série Aria est vraiment bien dessinée, et bien mise en couleurs. Il n’y a pas une anicroche dans cet album, tout colle bien, même si évidemment on a droit (comme dans chaque tome d’Aria), à un élément un peu fantastique.
Mais d’autre part, c’est ce qui fait la richesse du récit, on ne s’attend pas tellement à ce qui va se passer, et en vérité, je ne pense que l’on ait très envie de le savoir. L’histoire nous mène de contrées en contrées dans l’univers d’Aria et de son créateur Michel WEYLAND, et c’est agréable, on se laisse bercer par les récits, et dépayser par tous ces paysages. De plus, il serait inutile de nier que parfois le discours écologique et bon enfant est assez plaisant. Quelle imagination Madame et Monsieur WEYLAND, j’en redemande !!!

Par Siam l'Archiviste, le 5 août 2003

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