ARIA
Le Combat des dames
Un scène de sacrifice se déroule sur un pont… Une femme semble t-il très triste doit lâcher une petite enfant dans un fleuve, qui donne sur une grande cascade… Elle lâche l’enfant, qu’un homme repêche et cache… mais cet homme est banni, et la fillette à déjà disparue…
Alors qu’Aria se rend à Travelborg pour y disputer les jeux d’hiver, elle se retrouve coincée par un tigre, en pleine forêt enneigée. Mais Furia, son cheval parvient à s’enfuir, et les habitants tout proches d’une petite masure parviennent donc à la retrouver, à demi inconsciente.
Peu après des soldats viennent chercher l’impôt chez ces gens, et Aria s’y oppose, en proposant de combattre sous leurs couleurs pour compenser, mais dès l’arrivée dans la ville, elle est saisit de malaises à la vue de la grande cascade, et s’évanouit…
Par Siam l'Archiviste, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
2800125691
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Notre avis sur ARIA #9 – Le Combat des dames
Enfin des révélations sur le passé d’Aria. Bien maigres comme révélations, mais c’est déjà ça. Il est vrai que l’on prend goût à suivre les aventures trépidantes de notre jeune guerrière, et chaque petit indice sur son passé, qui pour l’instant nous est inconnu, est un petit délice. Ici c’est sur ce qui s’est passé à Tarvelborg dans son enfance que nous apprenons des choses, et l’on comprend un peu les traumatismes d’Aria à la vue du pont de Tarvelborg. Mais chut, pas un mot, je ne voudrais pas vous gâcher le surprise de la découverte, ce serait tout de même dommage.
Il serait inutile de s’appesantir plus sur cet album, tant il a les qualités de ses prédécesseurs. Scénario impeccable, dessin soigné, et dialogues croustillants, surtout la réplique de l’antépénultième case (NDR : avant avant dernière), qui trahit Nadine WEYLAND sans aucun problème ;o)
Un album, que dis-je, une série que je conseille absolument, pour la fraîcheur de son héroïne, la qualité des dessins, et des scénario qui se renouvèlent sans aucuns efforts.
Par Siam l'Archiviste, le 8 août 2003