ARISTOPHANIA
Progredientes

Adèle Francoeur est escortée par deux policiers dans un train pour être conduite vers une autre prison. Soudain le train s’arrête, les deux agents la sortent du wagon et la laissent sur la voie, menottée. Un homme s’approche d’elle, il dit se nommer le Roi Banni, il lui propose la liberté, afin de retrouver ses trois enfants, à condition qu’elle lui révèle tout au sujet du grand secret de son époux décédé. Mais Adèle refuse. Alors le Roi Banni utilise un Calamyrh, une chose qui absorbe toute vie, toute lumière et toute énergie…
Deux jours plus tard, Adèle est retrouvée, semble-t il dans le coma. Les enfants espèrent qu’elle va s’en sortir, mais tant qu’Aristophania n’est pas de retour, ils ne peuvent s’approcher d’elle…

Par berthold, le 12 novembre 2019

Notre avis sur ARISTOPHANIA #2 – Progredientes

La nouvelle série de French Fantasy conçue et imaginée par Xavier Dorison et Joel Parnotte se poursuit avec ce second volume.

Xavier Dorison nous révèle un peu plus les secrets d’Aristophania, ses pouvoirs et sa "mission" qui est de protéger les trois enfants. Mais surtout, nous découvrons qu’elle n’a qu’un délai de sept jours pour parvenir à ses fins. Sur ses traces, il y a toujours le Roi Banni et ses Laquais. Nous assistons d’ailleurs à l’attaque de deux de ses sbires contre Aristophania et Victor.
Cet univers est des plus réussi, il fonctionne très bien. L’idée d’avoir transposé ce monde de "fantasy" à Marseille est une excellente chose. L’intrigue avance bien, le lecteur est ensorcelé. Ce tome réserve bien des surprises et les rebondissements sont très bien amenés.

Quand à Joel Parnotte, son graphisme s’impose à nouveau. C’est tout simplement magnifique. Il amène de la poésie et de la magie dans ce récit où la noirceur et le drame ne sont pas loin. Il propose de superbes scènes dont une de "vol". Il y a de l’audace sur certaines cases et dans la disposition des planches.

Ce second tome nous offre encore un grand moment de lecture et prouve le grand potentiel de cette série.
Vivement la suite.

 

Par BERTHOLD, le 12 novembre 2019

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