ARQ
Rêves 1

Arq commence à se désagréger. Quelque chose ne va pas. A White Dust, Montana tente de trouver un moyen d’aider son ami. 
Ynos, l’être pirimitif, subit lui aussi un changement. Il se dédouble. Et la partie sauvage s’attaque aux personnes proches de lui.
Quand à Arthur Gilpatric, il raconte son histoire. Celle qui débute en 1958…

 

Par berthold, le 22 avril 2013

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Notre avis sur ARQ #16 – Rêves 1

Rêves 1 est le titre de ce seizième tome de la série Arq.
Un nouvel opus assez surprenant qui nous donne quelque réponses au sujet du monde d’Arq.

Andreas a du talent, que ce soit au dessin ou pour nous raconter une histoire. Encore une fois, il nous enntraîne dans cette aventure aux diverses intrigues et nous balade à travers diverses dimensions, celle d’Arq, notre monde et le rêve.
Le lecteur est embarqué sans soucis dans cette nouvelle aventure. On découvre ce que vivent plusieurs personnages principaux de cette saga. D’un côté, à White Dust, Arq et Montana, de l’autre, les habitants du monde d’Arq comme Alanna, son mari, ses enfants, Julian et les autres, mais aussi, ailleurs, Gilpatrick ou encore la mission du policier Robert White.
On sent bien qu’Andreas nous emmène vers le grand final que nous découvrirons dans le tome 18.
C’est vrai que c’est assez incroyable comment l’auteur de Rork a crée cette saga. Le tout en trois cycles de 6 tomes. Chaque cycle ayant son propre format. Ce dernier étant fait façon comics en noir et blanc.

Ce noir et blanc est vraiment superbe. Il n’y a pas besoin de couleurs pour apprécier cette série ou l’art d’Andreas. Son graphisme parle par lui-même. D’ailleurs, on peut voir que certaines planches n’ont pas de texte et pourtant, on comprend facilement ce qui "peut se dire" au sein de ces scènes.
Andreas a un style incroyable : hachures, crayonnés, noir, ombre, tout cela se côtoie sans poser de problèmes. De plus, une nouvelle fois, il nous séduit par ses mises en scènes audacieuses et incroyables.

Rêves 1 est un opus qui ne décevra pas les fans de la première heure et qui nous envie d’avoir la suite en main !
Une oeuvre exceptionnelle et unique qui mérite vraiment sa place dans toute bonne bibliothèque.

 

Par BERTHOLD, le 22 avril 2013

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