ART DU CRIME (L')
Les Amants du Rialto

Venise, 1700. La Cité des Doges est emballée par le retour de Lavinia, la plus célèbre actrice de théatre du moment, qui revient dans sa ville natale pour y donner une représentation exceptionnelle devant de nombreuses personnalités.
Le jeune Lorenzo, qui a été élevé à l’orphelinat, dirigé par le père Vidalia, tente enfin sa chance de pouvoir monter sur scène, mais il doit d’abord passer le casting. Il donne le meilleur de lui-même, impressionne le metteur en scène et les autres personnes présents. Il est parfait pour le role. Sauf que Lavinia ne veut pas de lui…
Au meme moment, la Cité est frappée par le meurtre du père Vidalia ! Les autorités pensent qu’il se pourrait que Lorenzo soit le coupable…

 

Par berthold, le 16 juillet 2018

Notre avis sur ART DU CRIME (L’) #8 – Les Amants du Rialto

Un huiitème crime vient d’être commis dans la série L’Art du Crime. Et ce crime se situe, cette fois-ci, dans le milieu du theatre.

Berlion et Omeyer nous entrainent dans le temps, en 1700, à Venise ou nous faisons la connaissance de Lorenzo, de son amante Antonella et du drame qui se joue sur scène lors de la représentation de la grande actrice Lavinia. Un meurtre a été commis et forcément, c’est Lorenzo qui serait le coupable.
Le lecteur sait qui a fait le coup, mais il faut maintenant savoir pourquoi et qu’elle est l’origine du refus de Lavinia pour que Lorenzo joue face à elle.
Cette intrigue est plutôt assez réussie dans l’ensemble. Le lecteur est pris par le suspense, par le rythme tendu de ce tome et a envie de connaitre le fin mot de l’histoire.

Le dessin de Steven Lejeune est superbe, il m’a beaucoup plu. Venise est magnifique sous son pinceau, les personnages ont de l’étoffe et du charisme, tout est là pour enchanter le lecteur et l’amateur de beaux dessins.

Après la lecture de ces Amants du Rialto, il ne nous reste plus qu’un tome à découvrir de cette série L’Art du Crime. Ce sera la conclusion, il me tarde d’ailleurs de voir comment tout cela va se cloturer.

 

Par BERTHOLD, le 16 juillet 2018

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