ASADORA
Volume 8

Yone apprend à Asa qu’elle va bientôt passer une audition pour réaliser son rêve et ainsi pouvoir accéder à son rêve, devenir chanteuse. Asa et Miyako viennent donc soutenir leur amie qui réussit le test. De son côté, Nakaido continue de chercher un moyen pour vaincre le mystérieux Kaiju, pour cela il retourne sur l’île où le professeur Yodogawa et lui l’avaient rencontré pour la première fois.
Quatre ans plus tard, Yone est devenue une célèbre chanteuse, elle tourne son premier film, mais le réalisateur est un vrai tyran qui la pousse sans cesse dans ses derniers retranchements en l’obligeant à tourner une scène déshabillée. La jeune femme s’enfuie alors avec un assistants, la bobine de la fameuse scène sous le bras. Elle trouve refuge auprès d’Asa…

Par fredgri, le 27 juillet 2024

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Notre avis sur ASADORA #8 – Volume 8

On attendait ce nouveau volume d’Asadora depuis un peu plus d’un an, mais contre toute attente, Urasawa ne nous offre pas une suite déterminante.
Certes, on passe un très bon moment à retrouver tout ce petit monde, et c’est peut-être même largement suffisant, néanmoins, on a aussi le sentiment que du coup l’auteur privilégie l’aspect soap de sa série au détriment du fantastique. L’intrigue générale n’avance pas beaucoup, mais le charme opère tout de même..

Avec ce tome, on se rend tout de même compte qu’Urasawa s’amuse bien plus avec les interactions des uns et des autres qu’avec cette idée de Kaiju mystérieux qui surgit de temps en temps. Ce qui est bien plus intéressant, c’est l’évolution des diverses personnalités, et plus particulièrement Asa. Ainsi, dans ce qui apparait davantage comme une parenthèse dans le récit général, nous nous rapprochons de Yone, de ses rêves qui sont enfin à sa portée et de ce qu’elle est amenée à devoir subir pour mériter sa carrière.
Mine de rien, même si Asa est quelques peu mise de côté (et que dire de Miyako et les autres), nous avons le sentiment d’en savoir un peu plus sur la jeune chanteuse.

Un volume qui n’apporte peut-être pas grand chose, mais qui perpétue assez habilement l’esprit d’Asadora et l’envie d’être là pour la prochaine fois. En espérant qu’on n’ai pas à attendre encore un an…

Par FredGri, le 27 juillet 2024

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