ASPEN COMICS
Aspen comics, vol 1

Aspen Comics, c’est le nom de le nouvelle maison d’édition fondée par le dessinateur Michael Turner, mais c’est également le nom du fascicule dans lequel seront éditées en France les séries imaginées par Turner et ses auteurs.
Comme Top Cow il y a quelques années, ce numéro 1 se présente avec des couvertures alternatives. Mais au programme de ce premier numéro, nous trouverons deux épisodes de la nouvelle mouture de la série Fathom. Les autres séries Aspen Comics comme Soulfire arriveront plus tard. Donc maintenant il ne nous reste qu’à s’immerger dans les aventures d’Aspen Mathews.

Par eric, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ASPEN COMICS #1 – Aspen comics, vol 1

Quand vous parler de comics avec des personnes initiées, vous risquez bien malgré vous de vous retrouver impliquer dans un sérieux débats qui tourne souvent autour de la forme que du fond. Forcément pour certains le comics se résume à des histoires qui se résument aux formes plantureuses de leurs héroïnes, et pour d’autres ce ne sont pas ces oeuvres au dessin tourmenté et difficile d’accès.

Avec Aspen Comics et la série Fathom, on retombe dans ce genre de confrontation idéologique. Pour ma part c’est avec un réel plaisir que le redécouvre le dessin de Michael Turner. Son trait a su me captiver depuis le début quand il a travaillé sur la série Witchblade, initiée avec Marc Silvestri (qui fera son come back dans Top Comics, tout juste paru chez Delcourt Comics). Il a su créer un style personnel et original.

Avec Fathom et ce monde aquatique omniprésent aux couleurs envoûtantes on se prend à s’immerger dans un univers apaisant. Et pourtant, l’univers de Fathom est plutôt martial. Sur fond de thèmes que ne renierait pas le prince Atlante Namor, on assiste souvent à un conflit entre monde sous-marins et monde continental. Et c’est en la personne d’Aspen Mathews que viendra la décision de cet affrontement.

Voila, le premier volume d’Aspen Comcs est déjà fini, il faudra attendre un petit mois pour connaître la suite du programme éditorial. si on devait faire un seul reproche à Michael Turner, ce serait le fait qu’il dessine souvent des personnages féminins qui ont un visage identique, mais il nous livre ici une aventure qui s’annonce angoissante…

Par Eric, le 22 mai 2005

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