ASPEN COMICS
Aspen, Cannon Hawke, & Soulfire

Dans Aspen Comics ce mois-ci :

Dans Fathom, Khiani et Thalassar n’arrivent pas à convaincre le Conseil des Bleus d’entrer en guerre contre les humains après la destruction de Saba. De son côté, Aspen revient dans le monde des humains et veut retrouver son père adoptif. Pour l’aider dans cette voie, elle peut compter sur Chance qui lui révèle que la ville de Saba a été rasée par Maylander et ses hommes.
Dans Cannon Hawke, la lutte pour tenir Taras au fond de sa psychée est rude pour Cannon. Mais il parvient à reprendre son corps en main et peut poursuivre son enquête sur la société qui a aidé Maylander à combattre les bleus. Mais d’autres sont intéressés par les découvertes de ces chercheurs, notamment le frère de Taras…
Soulfire fait relâche dans ce numéro et nous propose un épisode qui montre le côté cybernétique de cet univers.

Mais aussi des interviews de J.T Krull et de Marcus To.

Par eric, le 1 janvier 2001

Notre avis sur ASPEN COMICS #12 – Aspen, Cannon Hawke, & Soulfire

Peu de choses nouvelles dans ce numéro, si ce n’est un épisode de Soulfire qui montre un nouvel ennemi. Un ennemi direct de Benoist. Cet épisode permet de découvrir un nouveau dessinateur (Khari Evans) qui se montre prometteur. De plus, il permet de connaître un peu plus ce monde cybernétique qui a succédé à celui de la magie. Mais en étant un peu trop distant de la série mère on ne s’y retrouve pas énormément.
Avec la série principale de ce magazine, Fathom, on constate que c’est une série qui déçoit encore un peu, on n’a pas le sentiment que les choses évoluent. Tout reste très statique et le fait de suivre deux destins en même temps, dilue un peu le suspense. Seule la série Cannon Hawke poursuit son histoire tambour battant. Marcus To continue de nous époustoufler par son dessin. Et en lisant son interview, on constate que son travail est intimement lié à la maison Aspen et que ses influences sont grandement marquées par celle-ci.
En définitive, ce numéro se montre plus comme un numéro de transition. Sans être complêtement décevant on s’attendait à beaucoup mieux.

Par Eric, le 8 avril 2007

Publicité