ASSASSIN'S CREED : BLOODSTONE
Tome 1/2
Japon, l’île de Kyushu, le 06 décembre 2000. Un camp d’entrainement des Assassins.
Hajime discute avec Yuri des derniers évènements qui ont touché la Ferme au Dakota du Sud. Les Assassins ont été massacré à cause d’un de leurs anciens amis : Daniel Cross qui a fourni aux Templiers la localisation des camps qu’il a pu visiter. Mais avant qu’ils aient pu donner l’ordre d’évacuer l’île, des hommes armées ont attaqué le camp. Yuri est tuée, Hajime prend la fuite avec son fils, Tomo.
17 ans plus tard. Tomo poursuit sa quête pour retrouver les meurtriers de sa mère. Mais pour le moment, bien qu’il soit l’un des plus jeunes membres d’une cellule d’Assassins, il reste un technicien confirmé en hacking. D’ailleurs, il a pu identifier un détournement important de données, depuis une clinique en Suisse. Ses investigations le mènent vers une autre cellule qui a pour but de terminer un projet amorcé lors de la Guerre du Vietnam…
Par berthold, le 16 avril 2019
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Scénariste :
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782918771685
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Notre avis sur ASSASSIN’S CREED : BLOODSTONE #1 – Tome 1/2
Avec Assassin’s Creed : Bloodstone, Les Deux Royaumes continuent d’adapter en bandes dessinées l’univers du jeu vidéo du même nom. On a déjà eu, chez le même éditeur, il y a quelques mois, la saga Assassin’s Creed Conspirations, déjà écrite par Guillaume Dorison.
Cette fois, le scénariste nous entraine au Japon d’aujourd’hui, vers la période de la Guerre du Vietnam.
Il nous raconte la quête du jeune Tomo, pas encore un véritable Assassin, mais quelqu’un d’obstiné qui veut aller au bout et qui tombe de surprises en surprises. il met à jour des secrets, mais surtout il met sa vie en danger. Tout comme lui, nous nous faisons ballader par le jeu de certains personnages qui ne sont pas ceux que nous aurions pu croire.
L’intrigue est solide et très bien construite. Elle nous accroche aux basques de Tomo et ne nous lache pas jusqu’à la dernière page. Il ne nous tarde plus que d’avoir la suite en main pour découvrir ce qui se cache derrière tout cela.
Au dessin, on retrouve l’actuel dessinateur de Cartahago, Ennio Bufi, qui nous enchante de son trait réaliste. Sur un story-board de Thibaud de Rochebrune, il nous offre des planches efficaces, riches en sensations fortes. La mise en page est intéressante, les cadrages audacieux. Grâce aux couleurs d’Andrea Meloni, nous plongeons dans le récit.
Ce premier tome est un bon divertissement qui ravira les amateurs du genre et les aficionados du jeu vidéo.
Par BERTHOLD, le 16 avril 2019
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