ASSASSIN'S CREED : CONSPIRATIONS
Die Glocke
Septembre 1940, Londres. Eddie Gorm est le patron des docks. Il fait tourner sa petite entreprise à sa façon. Certes, il fait un peu de trafic avec le rationnement, un peu de trafic d’alcool aussi, mais pas plus. Il ne veut pas être un gangster, ni s’affilier à d’autres malfrats. Même la guerre, il n’y prend pas partie. Sauf que le jour où sa famille est touchée par un bombardement aérien, il doit faire un choix. Certaines personnes l’ont abordé pour rejoindre leur groupe et lutter contre un énorme danger, une menace atomique nazi… Et Gorm doit se décider et ainsi réveler sa vraie nature…
Par berthold, le 20 février 2017
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782918771524
Notre avis sur ASSASSIN’S CREED : CONSPIRATIONS #1 – Die Glocke
Fin décembre, les amateurs du célèbre jeu vidéo Assassin’s Creed ont pu en voir l’adaptation cinématographique, avec Michael Fassbender, Jeremy Irons et Charlotte Rampling. Quelques temps auparavant, est aussi sortie une nouvelle adaptation en bande dessinée qui s’intitule Assassin’s Creed : Conspirations.
Le scénario de cette nouvelle aventure se déroule pendant la Seconde Guerre mondiale, c’est écrit par l’auteur de Black Lord, de Seigneurs de Guerre : Guillaume Dorison.
Ce récit tient ses promesses. Action et suspense sont au rendez vous. Les amateurs apprécieront.
G. Dorison nous présente son héros, Eddie Gorm, patron des docks de Londres, qui découvre son destin et son véritable rôle. Ainsi, d’entrée, l’action nous envoie en Norvège, en 1943, où "l’assassin" saute d’un avion (sans parachute !) et se rend dans cette usine hydroéléctrique de Vemork et où l’attend une grosse surprise. Puis, Dorison nous ramène trois ans en arrière, pour mieux faire connaissance avec Eddie Gorm et les raisons qui le poussent à participer au conflit.
L’intrigue tient la route. Les personnages réussis. Dorison nous offre un bon thriller qui dès ce premier tome nous donne envie de découvrir la suite.
Pour mettre en images ce récit, Guillaume Dorison retrouve l’un de ses complices de Seigneurs de Guerre, Jean-Baptiste Hostache qui fait ici un travail plus qu’honorable. Son trait est dynamique, son dessin fouillé comme il faut. Grace aux choix des couleurs, il créé l’atmosphère de Londres, mais il nous plonge dans des scènes d’action digne du jeu vidéo.
Ce premier opus nous met l’eau à la bouche et nous donne l’envie d’en lire plus !
Vivement la suite !
Par BERTHOLD, le 20 février 2017
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