ASTERIX
Astérix et le chaudron

Abraracourcix reçoit la visite de Moralélastix, le chef d’un autre village, connu pour ses trafics avec les Romains et son caractère peu scrupuleux. Il vient demander de l’aide. Jules César s’apprête à lever de nouveaux impôts. Moralélastix souhaite mettre à l’abri tous ses sesterces. Il a pensé au village de nos irréductibles Gaulois, là où aucun percepteur romain ne se risquerait à venir.

Abraracourcix accepte et confie la surveillance du chaudron de sesterces à son meilleur guerrier, Astérix.

Hélas, durant la nuit, l’argent est dérobé. Selon la loi gauloise, Astérix doit réparer sa faute ou rester à jamais banni de son village. Le voici donc parti sur les routes pour tenter de retrouver cette fortune évaporée. Il est accompagné d’Obélix et d’Idéfix qui n’envisagent pas un instant de le laisser affronter seul cette douloureuse épreuve.

Par legoffe, le 1 janvier 2001

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Notre avis sur ASTERIX #13 – Astérix et le chaudron

Pour des héros qui n’ont guère l’habitude de l’argent, remplir un chaudron de sesterces est un grand défi. Astérix et Obélix apprennent à leurs dépends qu’il n’est pas facile de devenir marchand ou bon négociateur, ni même braqueur de banque.

Vous l’aurez compris, une bonne partie de l’album est en fait une succession de tentatives de gagner de l’argent. La façon dont s’y prennent nos héros est assez comique. Et cela permet de découvrir différents aspects du quotidien de la vie gallo-romaine (courses de chars, gladiateurs, marché, théâtre…). Petit bémol, cela fini par devenir un peu rébarbatif sur la fin.

Mais la chute de l’histoire et les dialogues savoureux issus de l’esprit de Goscinny en font tout de même un bon album, servi par les dessins toujours très réussis d’Uderzo.

Par Legoffe, le 22 avril 2007

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