ASTERIX
Astérix et la Transitalique
Un consul romain organise une course pour prouver la bonne qualité des routes d’Italie, alors que ça n’est pas vraiment le cas et que l’argent sert plus à organiser des orgies qu’autre chose. La course est ouverte à tout les peuples conquis, ainsi qu’aux barbares. Par contre, César demande a l’organisateur que ce soit un romain qui gagne et cela, par tout les moyens.
Par fef, le 20 octobre 2017
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782864973270
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2 avis sur ASTERIX #37 – Astérix et la Transitalique
Alors ? Que vaut cette nouvelle aventure d’Astérix : Asterix et la Transitalique ?
C’est très très sympa à la première lecture (qui prend une bonne grosse demi-heure)
Le fil conducteur se tient bien sur le développement de la course. C’est d’ailleurs une vraie histoire et pas seulement un "prétexte" à une visite touristique de l’Italie. Et même si on se doute que c’est Asterix et Obelix qui vont gagner, il y a un bon suspense et un vrai intérêt pour cette histoire, on est curieux de voir ou cela va nous mener et comment la fameuse course va se dérouler.
C’est vraiment un bon Asterix. En plus de l’aventure, j’ai souri très souvent, pouffé sur pas mal de gags et les jeux de mots sont bien barrés, avec références historiques, géographique etc.
Comme je le disais, cette nouvelle aventure d’Asterix (et Obelix) est une lecture assez rapide et il faudra peut-être une deuxième plus posée pour vraiment profiter de tout les gags de l’histoire et même d’une troisième lecture pour bien apprécier les références visuelles dans les arrières plans.
Par Fef, le 20 octobre 2017
Voilà enfin ce nouvel Astérix tant attendu ! Et cette fois encore, Conradix et Ferrix ne nous déçoivent pas !
Cette course, la Transitalique, est le prétexte à une grande aventure hors de Gaule, riche en gags, en jeux de mots et en surprises.
Nous retrouvons nos gaulois lancés dans cette compétition auprès de concurrents venant de partout. Il y a des Bretons, des Lusitaniens, des Egyptiens, des Goths et autres peuplades du nord. Mais surtout, Astérix et Obélix ont fort à faire face au romain et à son co-pilote.
Ne dévoilons pas tout, car il se passe beaucoup de choses dans cette histoire.
Comme le dit mon confrère, la lecture prend une bonne demi-heure. Ce qui est très bien. Il y a de nombreux gags visuels, des calembours qui nécessitent une deuxième, voir même une troisième lecture pour tout bien voir. Mais c’est le but d’un bon Astérix : être lu et rerelu.
Le scénario de Ferri est à la hauteur.
Quand au dessin de Conrad, il ne nous déçoit pas un instant. Le dessinateur se réapproprie l’univers d’Uderzo & Goscinny en y rajoutant du rythme.
On rit, on s’amuse, on se divertit dans cette nouvelle aventure d’Astérix et Obélix qui, forcement, se termine par un bon banquet !
Par BERTHOLD, le 24 octobre 2017