BAD LUCK WITCH
Time between witch and me

 
Dans un magasin où elle faisait des courses avec son grand frère Enji, Mari et Susutake, Shion s’est faite accuser d’avoir volé un disque. Dans la pièce où un vigile va les conduire à l’écart, l’ambiance sera horrible et l’homme va se comporter de manière terriblement agressive. Il s’avérera qu’il n’est plus que l’enveloppe humaine d’un parasite qui a investi son corps… Ce phénomène de parasite se fait de plus en plus courant : Enji, Hakuu et leurs amis vont essayer d’en savoir plus, de savoir qui pourrait se cacher derrière tout ça…
 

Par sylvestre, le 19 mai 2014

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Notre avis sur BAD LUCK WITCH #2 – Time between witch and me

 
La bonne surprise… n’est pas au rendez-vous. Dommage. Car globalement, on a là un second volume très "en dents de scie", avec des passages intéressants pour le développement de l’univers et d’autres qui sont longs et n’ont pas grand intérêt. On commence en effet avec cette histoire du chat Maron et du parasite qui a pris place en lui : ça fait une piqûre de rappel sur les "CLIS" et ça nous fait un peu d’action, de spectacle. Mais très vite, on passe à la phase shopping et là, les gags autour de la perversité de Naito, associés à l’histoire du choix de la peluche pour Shion nous font décrocher : on n’est plus vraiment dans le trip du pitch de Bad Luck Witch. Heureusement, l’affaire du vol à l’étalage nous replace "sur les rails" en nous mettant en présence de l’homme parasité puis des affrontements qui vont s’ensuivre. Mais après, à nouveau, on repart dans du "chronique quotidienne" (l’examen qu’Enji doit passer) qui nous éloigne une fois encore de la ligne conductrice de l’intrigue fantastique. Bref, du "en dents de scie", comme je l’écrivais plus haut. Trop, sans doute, pour qu’on sorte hyper emballés par ce deuxième opus du manga. La déception, quoi. Bad luck !…
 

Par Sylvestre, le 19 mai 2014

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