BALADE AU BOUT DU MONDE
Intégrale 3

Rentré en France après ses aventures indiennes, Arthis se retrouve dans un Paris en proie à la guerre des sectes. Très vite, il sera contacté par un ancien ami, Gabriel, qui s’avèrera faire partie d’une confrérie de nouveaux cathares : les "Véritables".

Si Arthis est ainsi sollicité, c’est parce que ces nouveaux cathares souhaiteraient connaître les secrets du royaume de Galthédoc, cette enclave oubliée, restée à l’heure du Moyen-Age. En effet, ils voudraient s’y réfugier pour tranquillement y vivre leur foi. Ils y chercheraient aussi la pierre qui donnerait au pouvoir de "celui qui saura la tenir" d’avoir des révélations sur l’Apocalypse.

Mais Arthis a juré de se taire pour préserver le royaume hors du temps. Cependant, les anti-cathares ont les moyens de tirer les vers du nez des gens, et c’est ainsi que lorsqu’ils parviennent à rapter Arthis, celui-ci leur donne alors malgré lui de nombreuses et précieuses informations.

Suite à ces aveux forcés, Arthis acceptera d’aider les nouveaux cathares et leur ouvrira les portes de Galthédoc, le royaume du bout du monde.

Par sylvestre, le 1 janvier 2001

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Scénariste :

Pierre MAKYO
dessinateur :

Michel FAURE
Coloristes :

Michel FAURE

Jacky ROBERT
Éditeur :

GLENAT
Collection s :

Caractère
Genre s :

Aventure
Sortie :

octobre 2001
ISBN :

2723436683

Notre avis sur BALADE AU BOUT DU MONDE # – Intégrale 3

L’intégrale du troisième cycle regroupe les albums 9 à 12 de la série "Balade au bout du monde".

L’histoire part d’une idée qui n’accrochera peut-être pas le lecteur gardant en mémoire le plaisir que lui aura procuré la lecture des cycles précédents. Heureusement, cette histoire propose des passerelles avec le royaume de Galthédoc et parvient à nous tenir en haleine.

Le dessin de Michel Faure, le partenaire du scénariste Makyo pour ces quatre tomes, est très bon, très adéquat aux ambiances. Il nous rappelle presque tantôt celui de Vicomte, tantôt celui d’Hérenguel (les dessinateurs des tomes précédents).

Je ne veux pas vous cacher que ce cycle est celui qui, jusque-là, m’aura le moins plu. Mais je vous laisse vous faire votre propre opinion… en espérant que Makyo redressera la barre lorsqu’il nous demandera de l’accompagner sur les sentiers de sa prochaine balade.

Par Sylvestre, le 25 novembre 2005