Balade Balade

Il y a des BDs comme ça qui hélas ne sont pas commerciales et pourtant méritent tant d’être mises en avant dans les boutiques. Tout ça simplement car ce n’est pas de la BD grand public, et que les ventes ne sont pas suffisantes pour leur laisser une grande place en vitrine ou en « tête de gondole ». Il est certain que les meilleurs libraires ne passeront pas à côté de cet d’ouvrage et qu’ils lui réserveront une place bien méritée.
Ca a été un réel plaisir que de lire cette BD, j’ai tout simplement apprécié le talent de narration, et le coup de patte de Kokor. Les personnages y sont hauts en couleur et très réalistes. Un vrai bonheur.

J’ai dévoré les 118 pages de cet ouvrage, et j’ai vraiment regretté que ce soit déjà terminé, on en veut toujours plus quand c’est bon.

Par AUB, le 29 avril 2003

A n’en pas douter, Balade Balade marquera l’année 2003. Cette BD est tout simplement géniale.
Bien sûr, 118 pages en noir et blanc, ça peut en rebuter certains. Pourtant, ne vous y fiez pas et ne passez surtout pas à côté du moment de bonheur que vous apportera la lecture de ce livre.
Le trait de Kokor, tout en étant simple est très plaisant. Ces personnages sont très travaillés : de véritables “tronches“.
Le scénario est truffé de références : du don quichotte de la couverture, à Lucky luke en passant par excalibur, tout y est. Les dialogues sont croustillants à souhait, et j’ai particulièrement apprécié la verve du commercial Sullivan Villette. Le tout baigne dans un absurde et un humour que ne renierait pas les Monthy python.
D’ailleurs, le mélange incessant entre fiction et réalité qui entoure les pages de cette BD ne sont pas sans faire penser à sacré Graal.
Bref, une BD raffraîchissante, que je vais m’empresser de ranger dans ma bibliothèque, au rayon indispensable.

Par Gdseb, le 29 avril 2003

J’ai commencé à lire « Balade balade » en me demandant bien ou l’auteur voulait en venir. J’ai trouvé le récit et le ton très rigolo, voir même passionnant, on se laisse assez vite prendre au jeu, on entre dans ces pages les pieds joints et on suit avec beaucoup de plaisir ces deux personanges, même si finalement tout cet absurde est bien destabilisant.
Alors en effet cet album est loin d’être le chef d’œuvre ultime, le truc inoubliable, néanmoins c’est 118 pages de lecture très sympa !

Par FredGri, le 1 octobre 2003