BANQUE (LA)
Troisième Génération : 1882-1914

La dernière décennie du XIXème siècle. Paris. Joseph de Saint-Hubert est en train de réaliser une affaire bien prospère avec la BGI, sa banque. Mais il ne se rend pas compte que petit à petit, il risque de perdre sa famille. Pendant ce temps, son demi-frère Achille se retrouve dans la mouise à cause du scandale politico-financier du Canal de Panama. Clotilde doit gérer une plantation au Congo. Ce qui gêne pas mal de monde qui voit d’un mauvais oeil qu’une femme soit à la tête d’une telle affaire…

Par berthold, le 29 juin 2017

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Notre avis sur BANQUE (LA) #6 – Troisième Génération : 1882-1914

Avec ce tome, se conclut le troisième dyptique consacré à La Banque, l’histoire d’une famille qui, depuis le début du XIXème siècle, tente de se créer un empire financier.

C’est avec un certain plaisir que nous suivons les tribulations, les bonheurs et les malheurs de la famille Saint-Hubert. Une famille qui s’affronte, se bat, qui se trahit pour tenter de parvenir au rêve de chacun.
Avec cette nouveauté, Boisserie et Guillaume nous racontent ce qui attend Joseph, Achille, Clotilde et leurs enfants. Ils nous font vivre l’histoire de France en suivant les Saint-Hubert. Par exemple, ce tome parle de l’emprunt russe, on est aussi témoin de l’assassinat de Jaurès à la veille de la Première Guerre mondiale. On découvre aussi quel destin attend la Banque d’Investissement Général.
On ne s’ennuit pas un instant avec ce récit familiale et les moments politico-financier.

Stéphane Brangier nous offre un dessin efficace, clair, superbement mis en couleurs par Delf très inspirée. Les visions du Paris, du new-York de l’époque sont magnifiques. Le trait est dynamique et donne du rythme au récit.

Ce tome 6 conclut en beauté ce troisième cycle.
La Banque est une série passionnante et intéressante qui ravit les amateurs de drames familiaux, d’aventure, d’histoires et de récits politico-financiers.

 

Par BERTHOLD, le 29 juin 2017

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