BATMAN
Percer la carapace
Le Chapelier Fou utilise une puce électronique pour contrôler Killer Croc. Ce dernier réussit à la retirer de sa tête et veut se venger de celui qui l’a manipulé.
Sur un casse qui a mal tourné et où Killer Croc a massacré les hommes du Chapelier, Batman se met à la poursuite de ces deux criminels…
Par berthold, le 1 janvier 2001
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Coloriste :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
_116430238
Notre avis sur BATMAN #18 – Percer la carapace
Je vais commencer par parler de ce numéro 18 de Batman, une fois n’est pas coutume, avec la couverture. C’est un superbe dessin inédit de Gabriele Dell’Otto aux couleurs correspondant au costume du Dark Knight. On rêve de voir ce très talentueux auteur italien sur une aventure de la chauve-souris.
Sinon, on poursuit la lecture des cycles déjà entamés.
On termine la mini-série Batman : Jekyll and Hyde. Nous en apprenons plus et découvrons une autre facette d’Harvey Dent, alias Double Face. Ces 6 épisodes, finalement, ont été assez réussis et nous montrent l’univers sombre et glauque du Batman. On finit l’histoire avec un Bruce Wayne fatigué, touché par ce qui arrive à son ancien ami, Dent.
On poursuit le cycle Human Nature avec Poison Ivy, tiré de Batman : Gotham Kights 63. On retrouve Silence dans cet épisode. C’est une bonne intrigue, servie par un dessin qui n’est pas à la hauteur de ses ambitions. Dommage.
Et puis, il y a l’épisode de Batman 642, où le Chapelier Fou fait des siennes et où l’on retrouve Killer Croc. Certaines images sont assez gores, tout de même. Le récit reste d’un bon niveau toutefois.
On poursuit aussi l’enquête de Bruce Wayne dans Detective Comics 808 au sujet d’un certain Raffi Moosakhanian et des intrigues qui se situent à Crown Point. C’est une histoire assez noire, glauque même, où l’on découvre la crasse, la pauvreté de la ville de Gotham (voir la visite de l’immeuble).
Bon, c’est un numéro qui se lit et divertit, mais reste un ton en dessous par rapport à d’autres aventures du Batman.
Par BERTHOLD, le 23 novembre 2006