BEBE BLUES
Chaque fois que je regarde les enfants, je me demande où sont passées toutes ces

 
Justine et Gaspard grandissent, et avec eux, la boîte à idées des auteurs ne peut qu’augmenter de volume ! En effet, avec Justine qui parle de plus en plus et qui a parfois les mots et les expressions bien choisis pour faire mouche, on imagine bien le nombre de gags qui vont pouvoir être insérés en plus dans la série dans le futur : si l’humour des attitudes et des gestes de la petite fille tenait sa place dans la bande dessinée, les textes émanant maintenant de ce personnage nouvellement doté de parole permet des conversations d’un nouveau genre… et très croustillantes ! Lorsque la petite fille monte sur la balance, par exemple, et, mine de rien, en profite pour singer sa mère ! Lol !

Quant à Gaspard, on le voit faire ses premiers pas. Si Justine, en son temps, avait fait les siens, et qu’on pourrait penser que les gags relatifs à cela ont déjà été servis, ce serait oublier que dans une famille, dès que la combinaison des personnes change, tout peut changer aussi ! Les interactions ne se font plus uniquement de parents à parents ou de parents à enfants : celles d’enfant à enfant risquent de se tailler de plus en plus la part du lion.

Et c’est ce qu’on espère, quelque part : que cette série super rigolote et bien observée continue encore et encore. Malgré leur nombre, les (déjà) plus de 1000 pages que totalise la version française de Bébé Blues proposent des gags sans arrêt renouvelés.

A noter aussi que certains titres des albums de la série jouent à celui qui sera le plus long (D’ailleurs, il manque le mot "années" au titre apparaissant sur cette fiche !). On pourrait jouer ensemble à deviner quel sera le prochain ! Euh… "Chéri, le congélateur ne serait-il pas resté ouvert plusieurs jours pour que ça pue autant dans le garage ?", par exemple ! 😉

Allez, bonne lecture.
 

Par Sylvestre, le 2 août 2007