BEDLAM
Le Mal, c'est ce que j'ai fait ou ce que je suis ? - Volume 2/2
Filmore était connu auparavant sous le nom du Madder Red, un criminel pyschopate et sanguinaire. Il fit trembler la ville de Bedlam. Mais, aujourd’hui, il est guéri de sa folie criminelle. Il a mis son talent au service de la police qu’il aide à empêcher de nouvelles menaces qui pourraient mettre en péril les habitants de Bedlam… En compagnie de l’inspecteur Acevedo, il tente d’arrêter une bonne fois pour toutes celui qui semble être derrière les dernières explosions qui ont fait de nombreuses victimes en ville…
Par berthold, le 27 novembre 2015
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Sortie :
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ISBN :
9782731647839
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Notre avis sur BEDLAM #2 – Le Mal, c’est ce que j’ai fait ou ce que je suis ? – Volume 2/2
Ce second et dernier volume de la série Bedlam reprend les épisodes US suivants : Bedlam 7 à 11.
Le sujet de Bedlam est interessant. Un psychopate genre le Joker, qui se repent, qui se soigne et qui met son don pour aider la police. L’idée est plutôt bonne et prometteuse.
Nick Spencer nous raconte ici l’histoire de Filmore, qui fut connu sous le nom du Madder Red, un criminel d’une rare violence (et qui pourtant, n’aimait pas les armes à feu !).
Le scénariste a oeuvré pour Marvel et a travaillé sur des titres liés aux Avengers. Chez Image, il est plus libre et va plus loin. Sauf que, même si cela se lit avec plaisir, l’intrigue reste un peu molle, cela manque de rythme et c’est dommage. Mais il reste quand même quelque scènes choc et impressionnantes.
Il s’interesse surtout à la psychologie de son personnage principal, Filmore, qui lutte pour rester du côté du bien. Et pour ne pas retomber dans le côté obscur du Mal.
Le dessin de Browne est adapté à l’intrigue. Il arrive à nous mettre mal à l’aise, ce qui tombe bien ! Ce que je préfère, c’est les scènes où il met en scène le Madder Red. Là, c’est impressionnant et dérangeant.
Je reste avec un sentiment mitigé sur ce second volet. Le mieux, c’est que je vous laisse vous faire votre propre opinion.
Par BERTHOLD, le 27 novembre 2015
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