BELLADONE
Maxime
Marie est envoyée en mission en province pour éliminer un opposant du roi. Pendant sa mission, de nouveaux souvenirs lui reviennent de son enfance en Inde. Cela lui amène plus de questions que de réponses.
Après avoir retrouvé la confiance de sa guilde après les deux tentatives d’assassinat ratées sur Louis XIV, le tueur fait des recherches sur Marie pour essayer de la recruter. Cela va le mener vers la Cour des Miracles. Maxime, qui n’a rien pu faire contre l’Italien lors de leur dernier combat, apprend de nouvelles techniques dont la fameuse botte de Nevers.
De retour sur Paris, Marie, Maxime et l’Italien vont de nouveau être opposés lors de l’attaque de la Cour des Miracles.
Par fef, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Éditeur :
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Genre s :
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Sortie :
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ISBN :
284946094X
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Notre avis sur BELLADONE #2 – Maxime
Suite des aventures de Marie, une sorte d’agent très secret sous le règne de Louis XIV. En plus de la mission indépendante comme l’ennemi du roi en province, on garde en fil rouge, l’opposition entre Marie, Maxime et leurs compagnons, l’Italien et sa guilde de tueurs. On en apprend un peu plus sur eux. Il semble que les passés de Marie et l’Italien soient vraiment très liés.
En plus de l’histoire, ce que j’aime beaucoup c’est l’ambiance de cette série. J’ai l’impression d’y retrouver celle des films de capes et d’épées. Tout respecte les codes de ce genre de film que j’apprécie chaque fois qu’ils repassent à la télévision : les combats à un contre quatre, les poursuites à cheval, les décors historiques, … mais en introduisant un élément totalement décalé. Une fille ayant vécu en Inde et ayant eu une formation très poussée en yoga et tantra qui semble lui donner des "pouvoirs magiques".
Un détail qui m’a fait sourire c’est quand j’ai compris qui était réellement certains personnages secondaires. Ils sont présentés sous leur vrai nom mais beaucoup plus connu sous un autre, c’est avec des indices qu’on les reconnaît. Le plus évident est Charles de Batz, je vous laisse chercher qui il est réellement.
Un autre élément qui aide beaucoup au rapprochement avec les films, c’est le dessin d’Alary. Le découpage et les cadrages dans les scènes d’action très nerveux conviennent parfaitement, cela insuffle beaucoup de vie et de mouvement.
Si vous aimez les vieux films de Jean Marais comme le bossu, le Capitan ou ceux sur les trois mousquetaires, jetez-vous sur cette série !
Par Fef, le 28 novembre 2005
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