BIGGLES RACONTE
Les frères Wright
Le pilote le plus chevronné de la Royal Air Force, met son talent de conteur pour nous narrer l’histoire de deux pionniers de l’aviation. Il s’agit ici d’Orville et Wilbur Wright et de leur goût immodéré dans la mécanique et les entreprises de toutes sortes.
Ils s’installent dans la ville de Dayton où ils commencent leur carrière dans l’imprimerie puis en tant que fabricants de vélos. Mais les péripéties de leurs contemporains comme Otto Lilienthal leur donneront l’envie à eux aussi de chérir le rêve d’Icare.
Et l’histoire retiendra que dans les dunes de Kitty Hawk, en 1903 ils y sont parvenus.
Par eric, le 1 janvier 2001
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Scénariste :
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dessinateur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
2803619113
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Notre avis sur BIGGLES RACONTE #6 – Les frères Wright
Dans cette série, Biggles n’apparaît jamais. Mais le but est avant tout pédagogique, dirons-nous. Même si l’on a fêté, injustement, le centenaire de l’aviation en 2003 en souvenir des frères Wright, peu de gens connaissent les grandes lignes de leur histoire. « Biggles raconte » est là pour combler ce vide.
En couverture de ce tome on peut voir un nom qui semble connu : Garros. Et oui, le scénariste a une filiation avec le célèbre aviateur Roland Garros. Et le dessinateur, qui répond au nom d’Uderzo n’est autre que le frère cadet du papa d’Asterix et a notamment contribué à certains albums des Chevaliers du ciel. Donc leur présence à tous les deux est assez légitimes. Et on sent à travers la lecture qu’ils ont fait un gros travail de documentation. Un travail effectué tant sur la biographie des frères que sur la technique. De ce point de vue là, cet album est très réussi. Mettre son nom au Panthéon des aviateurs a un prix, et ici on découvre qu’il faut beaucoup de sueur.
Le seul reproche que je ferai, c’est en fait un petit pinaillage ma part. Etant assez chauvin, je tiens à noter que le premier engin motorisé à quitter le sol fut l’Eole de Clément Ader en 1890. Et si c’est grâce à un de ses prototypes que les aéroplanes s’appellent « avions », il s’appelait en fait « Avion n°3 ». En fait, c’est l’aspect trop technique qui pourrait rebuter certains lecteurs, mais cela n’empêche pas de prendre du plaisir à lire cette bédé.
Par Eric, le 21 mars 2005
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