BLACK BANK
Business Clan
Adrian Stolker est l’un des criminels les plus recherchés du moment. Un agent du FBI, Collin Bridge, a déjà mis de côté sa vie familiale pour le faire taire. Grâce à un traquenard de haute voltige il parvient à arrêter Stolker et à l’expédier directement à Guantanamo où il sera interroger de manière très musclée.
Mais la CIA décide de libérer cet homme pour le faire juger sur le sol américain. Et malgré les inquiétudes de l’agent Bridge, Stolker réussi à s’évader, semble-t-il en soudoyant un des agents.
Mais dérrière cette évasion se cache la responsable du transfert, l’agent Alicia Jones et un financier James Baeckes. La vie d’Adrian Stolcker va changer de manière drastique. Ses talents d’arnaqueurs sont mis au service du projet Black Bank, dans le but de démanteler les activités mafieuses de la Sun Bank.
Par eric, le 1 janvier 2001
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dessinateur :
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Coloriste :
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Éditeur :
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Collection s :
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Sortie :
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ISBN :
9782849467152
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Notre avis sur BLACK BANK #1 – Business Clan
Black bank est l’un des premiers albums de la nouvelle collection "12 Septembre". Comme pour nous rappeler qu’au lendemain du 11 septembre 2001, le monde s’est réveillé sous un autre jour. Cet album nous parle d’une mondialisation effrayante. Ceux qui connaissent la série Insiders chez dargaud seront peu surpris en renfermant cet album. En effet, tout commence avec une intrigue assez palpitante, une course entre un agent du FBI et l’arnaqueur. On est captivé par la rivalité entre ses deux personnages. Ensuite se greffe le coeur du sujet, cette lutte pour faire tomber la pieuvre mafieuse dans le système financier mondial. C’est là que le parallèle avec Insiders est facile.
Mais cette série possède des atouts qui lui permettent de se détacher de cette image. D’une part on en est aux balbutiementx de l’aventure et le trio de personnages a encore tout à prouver face à des énemis dont un seul est connu actuellement, notre agent du FBI. Et elle est servie par un dessin très dynamique au découpage osé qui lui donne une image qui lui est propre. Par moment on pense à du comics en regardant certaines cases. Enfin, cet album ne laisse pas au lecteur le temps de s’ennuyer, on dévore littéralement les 46 planches qui le compose. Seuls les moments de flashbacks viennent calmer le rythme de cette lecture.
Ainsi, en jouant sur la carte de cette mondialisation plus qu’effrayante, Black Bank tente de nous convaincre que des personnes de bonnes volonté peuvent changer le cours des choses. La mission est presque accomplie avec ce tome qui nous pose les personnages et jette les bases d’un thriller intéressant.
Par Eric, le 27 janvier 2007
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