BLACKSTONE
New York
Paris. Jean-Jacques continue de vivre comme il peut grâce à ses tours de magie. Ainsi, il peut aider Jenny, qui est en prison, accusée de la disparition d’un enfant, et Mary, la mère de l’enfant disparu. Mais surtout, il essaie de retrouver la piste de Nelson, celui qui a réalisé le tour où le drame s’est joué.
Ce dernier a changé de nom. Il se fait appeler Blackstone, il fait un triomphe à New York avec des tours de magies époustouflants.
Jean-Jacques, apprenant cela, décide de faire le voyage. Mais le plus dur pour le moment est de trouver l’argent pour le voyage…
Par berthold, le 28 mai 2013
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Collection s :
-
-
Sortie :
-
ISBN :
9782723490030
Publicité
Notre avis sur BLACKSTONE #2 – New York
Qu’est ce que vraiment la magie ? Existe t’elle réellement ou est-ce simplement quelque tour de passe-passe ?
Après un premier tome qui nous faisait rencontrer les personnages principaux et introduisait l’intrigue, le lecteur peut enfin lire la suite intitulée New York.
Dans ce second opus, Corbeyran nous gratifie d’un scénario bien plus prenant que l’épisode précédent. J’ai bien plus apprécié ce tome ci. Je ne sais pourquoi, mais là, cela fonctionne mieux. D’entrée, nous voyons une scène semblant se réaliser dans une autre réalité. On y voit Oscar, l’enfant disparu. Mais est-ce réel ? Ou est ce un rêve que fait la mère d’Oscar ? Corbeyran nous fait douter. Puis, on retrouve Jean-Jacques que nous suivons dans sa quête pour mettre la main sur Nelson.
L’auteur s’intéresse à son personnage. Il nous montre ses sentiments pour Jenny et Mary. Il semble même ne pas avoir de rancune envers Nelson. Il le cherche surtout pour savoir ce qui s’est passé lors de ce tour. Il apprend qu’une pierre noire se trouvait dans la boite à la place de l’enfant. Comment est-ce possible ? D’où vient elle ? Et d’ailleurs, est-ce cette pierre qui confère son talent et son pouvoir au magicien Blackstone alias Nelson.
Corbeyran ne nous dit pas tout dans ce tome fort bien écrit et prenant.
Là encore, j’ai apprécié le talent de Chabbert au dessin. lui aussi est un peu magicien avec ces cases et ces passages très impressionnants, comme lorsque Blackstone termine son show. Le tout avec une mise en scène nerveuse et agréablement servie par les couleurs de Luca Malisan.
Blackstone est de l’excellent ouvrage, un très bon divertissement qui nous donne une autre vision de la magie. C’est aussi un bon cru de la production Corbeyran. A découvrir !
Par BERTHOLD, le 28 mai 2013
Dans la même série
BLACKSTONE