BLUE DRAGON RAL GRAD
L'orgueil

Les maléfiques kages menacent les hommes vivant dans le monde de la lumière.
Face à ce péril, le roi du château de Supherite libère Ral, un dangereux garçon qu’il a tenu enfermé pendant 18 ans avec son kage dragon.
À sa libération, Ral se distingue en éliminant les mauvais kages, puis décide de partir pour un long périple dans le dessein de tuer Obscuria, la reine des kages!

Ral vient d’enrôler Kafka dans son périple. Un voyage qui va les conduire dans la ville de Ruriru.
Mais, à peine arrivés, ils devront enquêter sur une mystérieuse affaire de femmes kidnappées… Ils se mettent au travail, lorsque Mio disparaît à son tour !

Par boukrou, le 30 août 2011

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Notre avis sur BLUE DRAGON RAL GRAD #2 – L’orgueil

Voici donc la deuxième partie sur les quatre de cette saga.
On retrouve le jeune Ral insouciant et innocent s’adonnant toujours autant aux corps féminins et plus précisément à leurs poitrines.
Ça pourrait presque paraître usant, voire avoir un petit côté pervers, mais on s’en sort plutôt bien dans ce tome et Ral apprend petit à petit à se tenir.

Pour ceux qui apprécient le coup de crayon de Takeshi Obata, Blue Dragon ne fait pas exception à la règle.
Le trait est toujours aussi beau et précis, sans fioritures, tant sur les personnages que sur les décors.
Toutefois, les traits fort complexes des kages peuvent rendre la lecture parfois difficile allant jusqu’à amener le lecteur à se demander ce qui est en train de se passer.
Malgré tout, les lecteurs plus habitués du genre sauront apprécier ce charadesin assez hors du commun.

Le scénario quant à lui reste fidèle à ce qu’il avait initié dans le volume précédent : une histoire qui n’a, somme toute, rien d’extraordinaire, mais qui avance rapidement.
On évite ainsi les énigmes vite capilotractées et redondantes, ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Les personnages n’évoluent que très peu mis à part Ral qui découvre doucement le monde qui l’entoure.
Ceci dit, un nouveau personnage et son kage font leur apparition ajoutant un peu de piment au scénario quelque peu trop banal.

Au final, ce manga ne présente rien de particulier si ce n’est le dessin d’Obata, mais reste cependant agréable à lire.

Par boukrou, le 30 août 2011

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