BODOI
Octobre 2006
Sommaire P4 – Quand Hergé et Leblanc faisaient Tintin P8 – 43 auteurs dévoilés par leur femme P26 – Nausicaa a deux papas P28 – Davodeau monte au front P30 US : Gaiman encore P31 – Kerascoët, P34 – Auteurs, j’aime BoDoï; J’aime pas BoDoï |
P38 – Brèves d’actualité P40 – Vip Monsieur Arleston P41 – Info-critiques : l’actu passée au crible P51 – La boutique BoDoï P52 – Carnets de voyage : Bertail P54 – Rosinski présente Thorgal P55 – Les bd à suivre avec « Thorgal », « Le grand Siècle » et « Cyclopes » P107 à 114- La boutique, le Shopping, le calendrier des sorties, des expo, des festivals etc…, le pinailleur et le courrier des lecteurs. |
Par MARIE, le 1 janvier 2001
Notre avis sur BODOI #100 – Octobre 2006
Un numéro 100 c’est magique ! Peut être moins qu’un 20 ans mais dans le chaos actuel du milieu de la presse, faire son numéro 100 c’est montrer à quel point la formule trouvée était juste pour qu’elle s’inscrive ainsi dans la durée.
Un numéro 100 c’est symbolique. Les équipes ont tourné. Certains sont partis et des nouveaux ont repris le flambeau en conservant la recette, ainsi on a toujours la chance de lire les trois prépublications d’album en avant première par exemple. Les chroniques d’albums sont toujours là elles aussi, elles se sont même vues affublées d’une nouvelle déco : des étoiles, qui si elles sont au nombre de 3 montrent un vif intérêt de la part des chroniqueurs ou au contraire, s’il n’y en a qu’une, risque de montrer le frein sur lequel le chroniqueur appuie à fond afin d’éviter tout obstacle rencontré en cas d’endormissement subit avant la fin de la lecture. Comme on peut le voir, la critique est dangereuse mais à la mode. Et Bodoï a fini par faire comme ses confrères et mettre des « notes ». J’avoue que je n’aime pas beaucoup ces échelles de valeur très vite transformées en repères visuels servant d’éliminatoire aux lecteurs les plus pressés. C’est sans doute la seule chose qui m’a attristée alors que j’ai lu tous les numéros de ce magazine.
Un numéro 100 aussi c’est bon nombre de souvenirs. Alors cette fois-ci les anecdotes remplissent les marges du bas pendant que les femmes d’auteurs émettent un petit commentaire personnel. Mais ce sont aussi les souvenirs des lecteurs. Le mien est amusant. Complètement emballée par la maquette, je me suis fait offrir un abonnement pour mon anniv à la parution du numéro 1 (numéro que j’ai gardé) !
Tout ça pour conclure que Bodoï accompagne plutôt bien la vie du milieu de la bd et que malgré la houle, ils tiennent bien la barre, alors souquez moussaillons et bon anniversaire !
Par MARIE, le 27 septembre 2006