BRUME
Petites histoires pour l'environnement
31 auteurs pour 19 récits qui ont pour dénominateur commun l’environnement et la place et le rôle de l’humain sur la planète.
Chaque petite histoire est un plaidoyer pour la défense de la vie : humour, poésie, action, chaque auteur à sa manière illustre avec sensibilité un espoir, une vision, un avenir.
Par olivier, le 3 mars 2011
-
Scénariste :
-
dessinateur :
-
Coloriste :
-
Éditeur :
-
Genre s :
-
Sortie :
-
ISBN :
9782359470079
Publicité
Notre avis sur BRUME # – Petites histoires pour l’environnement
Ce n’est pas un scoop que de dire que la planète va mal, tous les jours les médias ont un exemple à nous offrir de la folle dérive de notre environnement.
Visions d’un futur peu réjouissant…
Seuls responsables : nous bien sûr.
Pollution, destruction de la flore et de l’habitat naturel des animaux entraînent, dans le premier récit, un adorable petit rhinocéros à la recherche de tous ses amis qui ont quitté la forêt.
Si ces récits ont parfois un discours un peu simple, mais destiné aux enfants, la majorité est d’une très grande qualité graphique. Les styles sont variés, chacun bien évidemment aura sa préférence selon sa sensibilité, mais tous véhiculent efficacement le message : "Faites attention avant que la ligne rouge ne soit définitivement passée".
Ponctué de chiffres alarmants sur les espèces en voie de disparition, cet album est une pierre de plus à l’éveil des consciences.
Initiative artistique où les auteurs, qu’ils soient de la communauté CFSL ou invités, nous emmènent de la jungle urbaine à de poétiques visions sur les hommes fleurs ou encore la triste vision de la mer d’Aral.
Au-delà d’une nouvelle et simple interpellation, ce collectif milite pour une véritable action en faveur de l’environnement. Pour chaque album vendu, 1 euro est reversé à la Ligue pour la Protection des Oiseaux afin de soutenir et développer le centre de sauvetage de l’Île Grande, qui nettoie nos oiseaux de mer, et sensibilise le public à la protection de la biodiversité de nos côtes.
Par Olivier, le 3 mars 2011