BUCK DANNY (LES AVENTURES DE) - SERIE ONE-SHOT
Les Oiseaux Noirs 2/2

La mission de Buck Danny et ses camarades a été un échec. L’état-major décide de lancer une deuxième opération, et c’est tumbler qui pilotera un Blackbird, équipé spécialement pour cette mission. Mais les soviétiques ont été prévenus, ils abattent l’avion.
L’annonce de cette nouvelle est un choc pour Danny et ses compagnons. De plus, ils apprennent que le système de combat spatial russe est opérationnel et qu’ils peuvent donc détruire les satellites militaires américains. Buck Danny doit absolument contrer les soviétiques…

Par berthold, le 5 novembre 2017

Notre avis sur BUCK DANNY (LES AVENTURES DE) – SERIE ONE-SHOT #2 – Les Oiseaux Noirs 2/2

Jean Michel Charlier avait commencé à écrire Les Oiseaux Noirs en 1988. Il devait s’agir de la 45ème aventure de Buck Danny. Malheureusement, le scénario resta sans fin, jusqu’à maintenant.

Grâce à Buendia, Zumbhiel, Bergèse et Le Bras, nous pouvons enfin lire cette aventure, en deux parties.
L’intrigue se situe vers la fin des années 1980. Les tensions sont toujours tendues entre les USA et l’URSS, même si chez ces derniers, il existe un début de réchauffement, de rapprochement, d’ouverture.
Dans ce se second volet, les auteurs nous racontent les plans soviétiques concernant les sattelites américains. Et tout se déroule comme une partie d’échecs, comme on peut le constater assez vite.
Nous retrouvons forcement nos héros. Tumbler est en facheuse posture, son avion a été abattu et il a été capturé par les soviétiques. Ses camarades, dont Danny et Tucson, le croient mort, ils vont essayer de trouver une solution pour éviter qu’une Troisième Guerre mondiale éclate.
Quelque part, nous nous retrouvons un peu dans une ambiance à la James Bond. Mais c’est bien du Buck Danny que nous avons là. Tout va se jouer sur une opération aérienne.
L’intrigue est passionnante, bien construite et très documentée, ce qui rend le récit très crédible. Les deux scénaristes savent rester dans l’esprit de Jean-Michel Charlier.

Le dessin de ce second volet à été confié à André le Bras qui fait du beau travail. Un trait parfait, clair et efficace, qui est bien dans la tradition de Victor Hubinon ou de Francis Bergèse. Les amateurs de scènes d’avion sont comblés.

Une bonne aventure, dans la grande tradition du genre.
Un récit en deux parties qui tient toutes ses promesses et qui fonctionne grâce à un très bon suspense.

 

Par BERTHOLD, le 5 novembre 2017

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