BUNKER
Point zéro

Aleksi Stassik et ses collègues de l’armée du Velikiistok se retrouvent dans les plaines désertiques du sud, très en dessous des cimes enneigées de la Demarkacia.
Le Velikiistok est obligé de négocier avec le prince des Territoires du Sud, Aberrahman Derleth Al-Hazin, afin d’acquérir l’énergie nécessaire pour mener la guerre contre les Ieretiks.

Par aub, le 1 janvier 2001

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3 avis sur BUNKER #2 – Point zéro

Très clairement j’ai eu beaucoup de mal à me plonger dans ce deuxième tome, et j’ai même décroché de nombreuses fois lors de la lecture. L’histoire se complique énormément et l’on est très vite perdu car nous sommes promenés d’une époque à l’autre, d’une région à la suivante. Du coup je n’ai vraiment pas pris énormément de plaisir et pourtant j’adore habituellement ce que fait Christophe Bec. Je suis probablement passé à côté de quelque chose, et ma déception est d’autant plus grande.

Christophe Bec a laissé le dessin à Nicola Genzianella, s’attelant aux côtés de Stéphane Betbeder pour le scénario. Les illustrations sont toujours dans la même veine que le tome 1.Très réussies, avec beaucoup de travail, on sent une grande maîtrise de l’auteur, et une grande faculté d’appropriation du trait de Bec. Bravo pour cet ensemble très réussi. De grandes planches du plus bel effet accentuent l’impression de grands espaces.

Allez je vais relire une deuxième fois cet album… histoire cette fois de ne pas passer à côté.

Par AUB, le 21 janvier 2008

Le premier tome de Bunker m’avait littéralement scotché à mon fauteuil. Christophe Bec et Betbeder au scénario avaient créé une ambiance, une atmosphère que vous n’étiez pas près d’oublier.

De plus, Bec – au dessin – engageait un magnifique travail, faisant ressortir la peur, le mystère avec son graphisme. C’était donc avec impatience que j’attendais le second tome. Le voilà qui est enfin sorti. Il se nomme Point Zéro et c’est un autre dessinateurqui accompagne Bec et Betbeder : Genzianella. Son style n’égale pas celui de Bec mais arrive à rendre l’ambiance qui se dégageait du graphisme du premier tome. ce n’est pas une chose facile d’égaler Christophe Bec au dessin, mais Genzianella s’en tire plutôt bien.

Coté scénario, j’ai été surpris par le tome 2. Je ne m’attendais pas à ce brutal changement de "terrain". Il m’a fallu un peu de temps pour m’accommoder à ce changement. Et puis, plus je rentre dans le récit et plus je commence à l’apprécier.

Par la suite, après avoir refermé le livre, plus je repensais à cet opus et plus je me disais  que les auteurs ont eu raison de faire ce choix, d’aborder ce tome 2 comme cela. Les lecteurs seront peut être nombreux à être déconcertés mais, souvent, c’est de là que naissent les surprises.

Nous en apprenons un peu plus sur le héros. Mais nous avons droit à de nouveaux mystères. De nouvelles questions se posent. De plus, la fin de ce tome 2 va surprendre.

Ce tome 2 n’est pas facile, il peut être déroutant mais c’est aussi pour cela que ça marche et c’est ce qui en fait une des bonnes surprises de ce mois de janvier 2008.
Tiens, j’aimerais bien savoir ce qui nous attend au prochain tome.

Par BERTHOLD, le 13 février 2008

Après un premier album à l’ambiance pesante, notamment grâce à ce décor montagneux et mystérieux, le contraste est saisissant. Nous voici cette fois entraînés dans les étendues désertiques dans un lieu qui ressemble au Moyen-Orient.

Une fois la surprise passée, j’ai essayé de me concentrer sur l’histoire et j’avoue avoir eu du mal. Les « acteurs » sont nombreux et on a parfois du mal à se fixer sur les objectifs des uns ou des autres. Le récit m’a paru confus. Pour ne rien arranger, au lieu de voir le mystère se lever un peu sur l’origine de Stassik, il a plutôt tendance à s’épaissir. Les pistes s’enchaînent sans vraiment ouvrir le récit. Difficile aussi, parfois, de situer la chronologie de l’histoire. Ais-je manqué de concentration ? Peut-être, mais j’ai tout de même tendance à croire que les scénaristes n’ont pas rendu la chose aisée.

Le dessin ne m’a pas non plus convaincu. Certaines cases pêchent par leur manque de détail et une mise en couleur un peu particulière. La qualité est donc irrégulière et change vraiment d’une page à l’autre.

Autant de raisons qui font qu’après un premier tome plutôt prometteur ce second opus a plutôt tendance à me pousser à arrêter la série. Ce que je vais faire, très probablement.

Par Legoffe, le 13 février 2008

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