Captain America : la Légende vivante

De nos jours, quelque part dans l’orbite terrestre basse …
Des scientifiques travaillent à bord d’une station spatiale. Ils sont sur le point de trouver quelque chose, mais ça ne fonctionne pas comme prévu ! Le réacteur D.E.U.S. puise directement dans le champ d’énergie noire. Cela lui donne de la vie et affecte les membres de l’équipage. Seul le docteur Fox arrive à prendre la fuite. La capsule de survie atterrit quelque part en Sibérie. A bord de l’héliporteur du S.H.I.E.L.D., Sharon Carter et Captain America étudient le cas de la station et suivent la trace du crash. L’ordinateur de bord donne une info, un mot, un nom : Volkov ! Cela ramène Captain America en 1945, à la fin de la Seconde Guerre mondiale…

 

Par berthold, le 23 août 2021

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Notre avis sur Captain America : la Légende vivante

Cette bande dessinée concernant Captain America et s’intitulant La Legende vivante, reprend la mini-série Captain America : Living Legend 1 à 4.

Cette histoire est écrite par le scénariste des Losers, d’Hellblazer et d’autres comics bien connus des amateurs : Andy Diggle. Son récit est assez original et nous montre le premier Avenger dans une aventure assez particulière et passionnante. Ainsi, il affronte une entité venue de l’espace en territoire russe. Cette aventure nous ramène aussi en cette année 1945 où le héros étoilé combattait les nazis sur le sol russe et travaillait avec notamment l’officier Volkov ! Ce dernier est une connaissance que Steve Rogers croyait mort et qui a participé en 1968 à un projet spatial. C’est là que les ennuis ont commencé. L’intrigue est assez bien construite et arrive à nous maintenir en haleine tout du long, tout en conservant l’esprit de divertissement. Diggle sait entretenir le suspense jusqu’au bout.

Les illustrations du premier épisode sont signées Adi Granov. Son travail est vraiment remarquable. Il plante l’ambiance de ce scénario sans aucune difficulté. Les scènes de guerre sont assez spectaculaires dans la mise en scène. Pour les trois autres numéros, c’est Agustin Alessio qui prend le relais et ce dernier reste dans l’esprit de Granov. Cela permet d’avoir une homogénéité dans l’ensemble du récit. Cet artiste réalise aussi un travail remarquable.

En complément de cette aventure de Captain America, vous trouverez aussi un récit mettant en scène Iron Man et qui est écrit par Jon Favreau, le réalisateur de Iron Man 1& 2 (et interprète du personnage de Happy Hogan, le tout illustré par Adi Granov.

Ce Captain America : la Légende vivante est une très bonne lecture que je vous recommande si vous n’avez pas encore eu l’occasion de le lire. 

Par BERTHOLD, le 23 août 2021

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